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mercredi 1 février 2017

Croc blanc de Jack London





4° de couverture

Dans le Grand Nord sauvage et glacé, un jeune loup apprend à lutter pour la vie.
Les premiers hommes qu'il rencontre, des Indiens, le baptisent Croc-Blanc.
 Auprès d'eux, il connaît la chaleur du feu de camp, mais aussi le goût du sang.
Racheté par un Blanc cupide, il est dressé pour le combat et découvre la haine.
Un homme pourtant le sauve de cet enfer.
 Croc-Blanc lui vouera un amour exclusif.



Mon ressenti






Voilà mon premier livre de cette année 2017, un grand classique (un chef d’œuvre) qui vaut le coup d'être lu au moins une fois dans sa vie. 
Le grand froid, la neige et des grands espaces pour s'aérer. (The Wild.)
Je n’ai pas eu trop de mal à me glisser dans la peau de Croc Blanc étant vraiment passionnée par les loups.
Après avoir grandi auprès de sa mère Kiche, il va vite comprendre que la vie est difficile et que pour survivre, il va devoir tuer, manger et aussi se plier à certaines règles des humains.  
 Castor gris va le récupérer après l'avoir séparé de sa mère et il sera parmi les indiens en totale liberté malgré quelques bagarres avec les chiens du campement. 
Un jour de malchance un homme cruel le voit et il décide de se l’accaparer, là c'est le début de l'enfer. 

Pour Croc Blanc c'est le début des combats de chiens et des moments très insoutenables,  la mort va le frôler. 
J'ai vraiment eu mal  pour cet animal qui a énormément souffert mais il eut la chance d'être sauvé par deux hommes qui étaient de passage. 
Grâce à cette mésaventure notre chien loup va vraiment devoir refaire confiance en l'être humain. 
Une magnifique leçon de vie, en lisant ce roman de Jack London, on est totalement transporté dans un univers sauvage où règnent le danger et la terreur. Jusqu'à la fin de cette histoire, on voit que le chemin vers la confiance est très difficile, il lui faudra beaucoup d'épreuves pour enfin vivre dans un endroit paisible où il sera choyé par son maître Weedon Scott. 
L'amour le change petit à petit et il le guérit tous ses maux. 
Merveilleux moments de bonheur qui m'ont réchauffé le cœur en ces moments de grands froid.
Enfin pour terminer,   je vais continuer mes lectures et je donnerais  mes avis dès que possible,  je prépare un concours actuellement donc j'ai la tête ailleurs. 
Bonne soirée à tous.










Auteur 

Jack London 

 Jack London, de son vrai nom John Griffith Chaney, était un écrivain américain. 
Il fut un des premiers Américains à faire fortune dans la littérature.

Sa mère, Flora Wellman, abandonnée par son amant qui ne voulait pas d'enfant, tente de se suicider.
Quelques mois après, elle épouse John London, un veuf, père de deux enfants. 
Plus tard, pour le distinguer de ce père, on appellera l'enfant Jack.

Flora est spirite et donne des leçons de piano. Jack exerce de nombreux petits boulots, tels pilleur d’huîtres, travaille dans la patrouille de pêche, fréquente les voyous du port d’Oakland, découvre l’alcool.

Jack s’embarque sur le Sophie Sutherland pour aller chasser le phoque au large des côtes du Japon qui l’inspirera pour l’écriture de son premier récit, Un typhon au large du Japon.
Ensuite, il suit les vagabonds le long des voies de chemin de fer et participe à la marche des chômeurs sur Washington. Il est emprisonné à Niagara Falls pour vagabondage. Il devient socialiste et lit beaucoup Nietzsche, Darwin, Spencer.En 1897, il participe à la ruée vers l’or du Klondike. Il attrape le scorbut et est rapatrié en 98. Ses expériences alimentent son inspiration.
Il publie sa première nouvelle sur le Grand Nord, « A l’homme sur la piste. » Le recueil « Le fils du loup » est un succès. Il se marie et sera le père de deux filles.

Après trois mois à Londres, il écrit « Le Peuple d’en bas. »
En 1903, son livre, « The Call of the Wild » (L'Appel de la forêt) sera vendu à six millions d’exemplaires, devenant un grand succès.
En 1904, « Croc-Blanc » est publié et connaît un lui aussi un grand succès.

Il se fait construire un bateau le Snark et entame un tour du monde qui prend fin en Australie, où il doit se faire soigner pour des maladies tropicales. Il écrit « Martin Eden », roman d'inspiration autobiographique et considéré comme son chef-d'œuvre.

En 1909, il est de retour en Californie et entreprend par la suite, un voyage autour du Cap Horn. « John Barleycom », son autobiographie d’alcoolique est publié.
En 1911 il publie "Le Mexicain".
En 1913 il publie des mémoires, "John Barleycorn, le Cabaret de la dernière chance" où il raconte sa lutte contre l'alcoolisme.
En 1916, il démissionne du Parti Socialiste qu’il trouve trop tiède.
 Le 22 novembre, atteint d’urémie, il meurt après avoir pris une forte dose de médicaments.

Le centenaire de sa mort a été célébré en 2016. 

Source : www.arte.tv

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