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lundi 8 janvier 2024

Compte rendu du club littéraire du vendredi 5 Janvier au Rubis.

 



Bonjour je vous fais un petit compte rendu du club littéraire du vendredi 5 Janvier au café Rubis.

Nous étions cinq participantes et nous avons passé un très bon moment en parlant des livres que nous avons lu depuis la dernière fois. 

Deborah

Stéphanie

Fabienne 

Véronique 

Sabine ( animatrice du club littéraire ) 

Deborah nous a parlé du livre qu'elle a emprunté dans la bibliothèque du Rubis. Elle l'a dévoré au mois de décembre et elle nous conseille vivement de le lire. 

Seul à savoir de Patrick Bauwen.

Elle avait du mal a le lâcher car c'est une histoire très prenante et elle a bien accroché du coup Fabienne va le lire prochainement.



JE SAIS CE QUI EST ARRIVE A NATHAN.

VOULEZ-VOUS JOUER AVEC MOI ?
SIGNE: LE TROYEN.

Un message mystérieux sur Facebook et le passé de Marion resurgit.
Meurtres, coups de théâtre, faux-semblants et, au bout d'un jeu de piste infernal, la plus incroyable des révélations: le secret de Nathan Chess, l'homme que Marion n'a jamais pu oublier ...
Recherches médicales de pointe, argent sale, nouvelles technologies: une intrigue à couper le souffle, où s'entrelacent amour et suspense, signée Patrick Bauwen, l'auteur de "L'Œil de Caine" et "Monster".

Ensuite elle nous a parlé de Memet dans les orties de Nicolas Turon, un roman composé de plusieurs histoire policières et pleines d'humour qui se passe pour certaines à Nancy. 


Nicolas Turon est auteur, dramaturge, metteur en scène et comédien.


Originaire de Lorraine, il explore les arts vivants depuis plus de vingt ans. Il s’est beaucoup engagé dans la création collective, le théâtre de rue, le théâtre jeune public, mais aussi l’écriture et la radio.


https://www.nicolasturon.com/boutique/memet-dans-les-orties/



Un meurtre en EHPAD, un noyé mystérieux, une véritable boucherie, et c’est toujours Memet qu’on appelle… Faut pas pousser!

Deborah nous a dit vouloir continuer sa série les chroniques de San Francisco d'Armistead Maupin.



San Francisco et sa fameuse baie, ses tramways cahotant dans les rues en pente, son pont du Golden Gate, compte désormais un monument de plus : le 28, Barbary Lane, une pension de famille tenue par la pittoresque Anna Madrigal qui materne ses locataires avec une inépuisable gentillesse. Et ils en ont tous bien besoin, car "s'il ne pleut jamais en Californie, les larmes en revanche peuvent y couler à flots". Ils le savent bien, Mary Ann, venue de Cleveland dans cette ville qui a le don de décoincer les gens, Mona qui vient de perdre son emploi, Michael qui cherche vainement l'homme de sa vie...

Né en 1944 à Washington DC, Armistead Maupin vit à San Francisco depuis 1971. C'est dans un quotidien, le San Francisco Chronicle, qu'en 1976 il a commencé à publier ses chroniques réunies plus tard en six volumes qui ont connu un succès immédiat. Parce que cette comédie humaine, pleine d'humour et de fantaisie, est surtout un plaidoyer contre l'hypocrisie et pour le respect des différences. Gérard Meudal

Fabienne à terminé l'épaisseur d'un cheveu de Claire Berest, elle a beaucoup aimé d'ailleurs je vais le prêter à Stéphanie qui veut le lire.

En ce moment elle lit Le cri de Nicolas Beuglet.



À quelques kilomètres d'Oslo, l'hôpital psychiatrique de Gaustad dresse sa masse sombre parmi les pins enneigés. Appelée sur place pour un suicide, l'inspectrice Sarah Geringën pressent d'emblée que rien ne concorde. Le patient 488, ainsi surnommé suivant les chiffres cicatrisés qu'il porte sur le front, s'est figé dans la mort, un cri muet aux lèvres – un cri de peur primale. Soumise à un compte à rebours implacable, Sarah va découvrir une vérité vertigineuse sur l'une des questions qui hante chacun d'entre nous : la vie après la mort...


Ce polar, je l'avais lu en 2016 alors je vous glisse le lien ci-dessous.

https://sabineremy.blogspot.com/2016/10/le-cri-de-nicolas-beuglet.html

Stéphanie a lu Le vol des cigognes de Jean-Christophe Grangé, elle a eu du mal a rentrer dans l'histoire au début mais elle l'a terminé car ensuite il y a de l'action et elle l'a trouvé pas mal.



Un ornithologue suisse est trouvé mort d’une crise cardiaque… dans un nid de cigognes. Louis, l’étudiant qu’il venait d’engager, décide d’assumer seul la mission prévue : suivre la migration des cigognes jusqu’en Afrique, afin de découvrir pourquoi nombre d’entre elles ont disparu la saison précédente…

Parmi les Tsiganes de Bulgarie, dans les territoires occupés par Israël, puis en Afrique, Louis court d’énigme en énigme et d’horreur en horreur : observateurs d’oiseaux massacrés, cadavres d’enfants mutilés dans un laboratoire… Les souvenirs confus de son propre passé –ses mains portent des cicatrices de brûlures depuis un mystérieux accident– se mêlent bientôt à l’enquête…
Suspense, imagination, vérité documentaire : ce thriller captivant, véritable coup de maître, est le premier roman de l’auteur des Rivières pourpres.


Stéphanie est en pleine lecture actuellement de Réparer les vivants de Maylis de Kerangal.


"Le cœur de Simon migrait dans un autre endroit du pays, ses reins, son foie et ses poumons gagnaient d'autres provinces, ils filaient vers d'autres corps". "Réparer les vivants" est le roman d'une transplantation cardiaque. Telle une chanson de gestes, il tisse les présences et les espaces, les voix et les actes qui vont se relayer en vingt-quatre heures exactement. Roman de tension et de patience, d'accélérations paniques et de pauses méditatives, il trace une aventure métaphysique, à la fois collective et intime, où le cœur, au-delà de sa fonction organique, demeure le siège des affects et le symbole de l'amour.

Véronique nous a parlé des romans qu'elle a lu récemment et elle en lit beaucoup. 

Je vous met sa liste ci-dessous. 

Elle a animé chez Hisler une rencontre dédicace avec Sébastien Paci qui a écrit une trilogie dont le troisième tome vient de paraitre.



Le Directeur de la Fondation Mozart détient il bien une rarissime partition inédite du Maître ? Quel est le sens des propos d'une authentique virtuose qui prétend écrire pour nous sous la dictée de Mozart, Schubert, de Liszt... ? Sébastien Paci nous entraine dans les arcanes de la création musicale et nous initie ainsi aux secrets les plus éclairants et les plus inattendus. Son enquête nous dévoile l'origine d'une mort qui n'aura finalement rien d'accidentel. Le crime pourrait-il être suggestif, inspirant et nous entrainer dans un monde de culture et de raffinement ? Quel jeu jouent les Francs-Maçons ?



La musique n'adoucit pas toujours les . Vienne, 1800, Anton Stadler, grand clarinettiste et ami de Wolfgang Amadeus, poursuivi par ses créanciers, tente un stratagème pour sauver sa vie. Mais jouera-t-il impunément avec un secret maçonnique ? Paris, 2012, Martin Liebman, directeur de la fondation Mozart, est entraîné dans une intrigue imprévue. Son compagnon, Patrick, sa fille Lucie follement amoureuse d'un américain, risquent leur vie pour s'être approchés des mystères du pianoforte de Mozart. Après le succès de son premier roman Tombé du ciel, basé lui aussi sur des personnages et des faits réels, Le Ciel attendra interroge finement nos préjugés et attire le lecteur à petite distance de la mafia du milieu musical mondialisé dont sociétés secrètes et pouvoir politique tirent des ficelles. AUTEUR Sébastien Paci , romancier, compositeur, instrumentiste né à Villerupt (Meurthe et Moselle), habite Metz. Professeur de lettres, puis inspecteur de l'éducation nationale, il exerce actuellement comme conseiller à la Direction Régionale des Affaires Culturelle du Grand Est (Ministère de la culture).



L'auteur entraine ses personnages au verso de leurs vies lisses et rangées. Les pièces du puzzle patiemment disposées dans Tombé du ciel (2021) et Le ciel attendra (2022), prennent définitivement leurs places. Les héros subissent le contrecoup des épreuves qu'ils ont dû endurer. Dans un contexte tendu, le vol improbable d'un manuscrit de Mozart va conduire le lecteur vers la révélation de mystères. Si les anthroposophes et les francs-maçons livrent quelques-uns de leurs secrets ces dévoilements ne resteront pas sans conséquences. Sébastien PACI semble, une fois encore, brouiller les frontières de la réalité et de la fiction alors qu'il montre au lecteur que l'une est inséparable de l'autre. Mais la sacro-sainte loi du profit demeure catégorique comme la mafia qui assassine ceux qui gênent son application. Ce dernier roman de la trilogie de la fondation de Sébastien PACI, compositeur de renommée internationale, conseiller à la Direction Régionale des Affaires Culturelle du Grand Est (Ministère de la culture).


Ensuite elle nous a parlé du roman Le portrait du mariage de Maggie O' Farrell.


Après Hamnet, Maggie O’Farrell nous entraîne dans la Renaissance italienne pour redonner vie à une femme libre, rebelle, incomprise. Portée par une écriture d’une beauté inouïe, une œuvre lumineuse et poignante.

C’est un grand jour à Ferrare. On y célèbre les noces du duc Alfonso et de Lucrèce de Médicis. La fête est extravagante et la foule n’a d’yeux que pour le couple.
La mariée a quinze ans. Rien ne l’avait préparée à ce rôle. Elle n’était que la troisième fille du grand duc de Toscane, la discrète, la sensible, celle dont ses parents ne savaient que faire. Mais le décès soudain de sœur aînée a changé son histoire.
La fête est finie, Lucrèce est seule dans un palais immense et froid. Seule face aux intrigues de la cour. Seule face à cet homme aussi charismatique que terrifiant qu’est son mari.
Et tandis que Lucrèce pose pour le portrait de mariage qui figera son image pour l’éternité, elle voit se dessiner ce que l’on attend d’elle : donner vie à un héritier. Son propre destin en dépend…

Elle a lu Le fil du père de Victor Del Arbol. 



Des soubresauts de la guerre civile dans un village d’Estrémadure aux plaines gelées de Sibérie, de la légion étrangère dans le Sahara oriental aux amphis de la fac de Lettres de Barcelone, trois générations d’hommes maudits traversent le XXème siècle unis par les liens du sang, de l’infamie et de la mort.



"Il commence à chanter en arabe. Je saisis quelques mots comme benti, goulti ou jbel et, évidemment, tous les mots que la colonisation a influencés tels que Francia, musiqa, immigri, faliza, miseria, carta. Je devine, à ses yeux qu'il ferme de temps à autre, à la tonalité de sa voix, aux notes qui viennent du fond de sa gorge, aux voyelles qu'il étire à en perdre le souffle, qu'il parle de l'Algérie, de son village, de sa famille, de sa culture, de tout ce que la guerre l'a contraint à laisser loin derrière lui. Après la guerre d'Algérie, après l'errance, les parents de la narratrice s'installent en Vendée, à Fontayne, dans un lotissement qui regroupe neuf familles. Les petits jouent, les grands s'interrogent sur l'avenir, les parents travaillent et aménagent leur maison pour oublier le passé. Chez les Benali, il reste des traces d'avant l'exil : les souvenirs incomplets du père, les portraits de proches inconnus, un uniforme de l'armée française, la langue arabe qui revient parfois. Enquête familiale et sociologique, La source des fantômes raconte une enfance des années 1980, sans cesse interrogée par la narratrice adulte.


Berger dans le Haut-Jura, John, trentenaire et en couple avec Héloïse, passe cinq mois par an dans les alpages. Lorsqu'il apprend qu'Alexandre Perrin, un ami de lycée, vétérinaire et militant écologiste, a tué son voisin, un chasseur de 20 ans, il quitte son refuge et reprend contact avec Nadia, l'épouse d'Alexandre et ancienne camarade. Une complicité amoureuse s'installe entre John et Nadia.


Par une froide nuit de novembre 1994, une maison est réduite en cendres. Sous les décombres, une jeune femme est retrouvée assassinée. Pour les habitants de la communauté rurale de Marbäck, dans le sud de la Suède, cet événement fait date : il y aura un avant et un après. Particulièrement pour le jeune Isak Nyqvist, dont l'oncle n'est autre que le petit ami de la victime, coupable tout trouvé qui sera rapidement condamné à la prison à vie.Vidar Jörgensson, policier débutant, est fier d'avoir contribué à la résolution de l'enquête. Mais il est loin de se douter que cette affaire le conduira au bord du désastre... neuf ans plus tard.



«Qu’il vous reste de nous notre amour infini de la vie, de sa beauté et de sa légèreté, et que du fin fond de notre sommeil éternel, vous nous entendiez rire encore. Rire, chanter, danser et célébrer la vie. Nous l’avons tant aimée.»
Un matin, un garçon d’étage de l’hôtel Lutetia, découvre un couple d’octogénaires, main dans la main, endormis pour l’éternité.
Ce geste ultime et romantique, cette liberté qu’ils n’ont pas hésité à s’offrir a certes du panache, mais Ezra et Maud ont-ils pensé à leur fille Eléonore qu’ils laissent en proie à l’incompréhension et au chagrin ?
Ont-ils seulement pensé à elle en planifiant leur mort spectaculaire, leur funérailles extravagantes, le legs compliqué de leur maison des Bulles ?
Ultime coup d’éclat d’un couple de publicitaires, vendeurs de rêves, incarnations vibrantes des dernières décennies euphoriques du XXe siècle ou témoignage d’amour maladroit, absurde, tapageur mais d’amour malgré tout ?
C’est drôle, c’est perturbant, c’est bouleversant, et Emilie Frèche signe ici son meilleur roman.

Elle nous a parlé des romans de Piergiorgio Pulixi.




Depuis plusieurs décennies, la Sardaigne est le théâtre de meurtres rituels sauvages. Enveloppés de silence, les corps de jeunes filles retrouvés sur les sites ancestraux de l’île n’ont jamais été réclamés. Lorsque les inspectrices Mara Rais et Eva Croce se trouvent mutées au département des “crimes non élucidés” de la police de Cagliari, l’ombre des disparues s’immisce dans leur quotidien. Bientôt, la découverte d’une nouvelle victime les place au centre d’une enquête qui a tout d’une malédiction. De fausses pistes en révélations, Eva et Mara sont confrontées aux pires atrocités, tandis que dans les montagnes de Barbagia, une étrange famille de paysans semble détenir la clé de l’énigme.

La première enquête de Mara Rais et Eva Croce nous plonge dans les somptueux décors de la Sardaigne, au cœur de ténèbres venues du fond des âges.



À travers toute l’Italie, les téléphones portables vibrent à l’unisson. En l’espace de quelques minutes, des milliers de personnes reçoivent une vidéo intitulée "La loi, c’est toi". À l’écran, un criminel ligoté et un homme masqué qui prend la parole. Son objectif : faire voter en ligne le public sur le sort de son prisonnier, qu’un système judiciaire inefficace et corrompu a laissé impuni. La vindicte populaire est en marche. Mara Rais et Eva Croce, deux femmes aussi différentes qu’imprévisibles, sont chargées de l’enquête, épaulées par le criminologue Vito Strega. Confronté à un ennemi insaisissable à la popularité grandissante, le trio se lance dans une course contre la montre.

Après L’ Île des âmes, la nouvelle enquête d’Eva et Mara nous emmène de la Sardaigne à Milan. Face à la séduction du mal, chacun devra choisir entre envie de justice et soif de vengeance.




Lorsque la police arrive, la scène du crime est glaçante : 85 coups de couteau et une gamine de treize ans. Mais ce n’est pas la victime... c’est la meurtrière. Elle est restée là, le poignard encore levé, un sourire diabolique aux lèvres. Quand d’autres crimes violents sont commis par des jeunes collégiens, l’inspectrice Teresa Brusca demande au commissaire Strega, suspendu suite à un ”accident”, d’enquêter officieusement avec elle. Très vite, Strega a l’intuition que ces adolescents tueurs sont unis par un secret. Mais lui aussi a sa part d’ombre. Brillant policier, il est obsédé par un besoin inassouvi de justice qui le met parfois en rage. Face à ces crimes d’enfants, il est prêt à tout pour apaiser en lui le chant assourdissant des victimes.

Cette première enquête de Vito Strega est un page-turner efficace et implacable qui joue avec les nerfs du lecteur et interroge les notions de bien et de mal.








Salué par la critique depuis vingt ans mais encore méconnu du grand public, Mathieu Belezi livre avec Attaquer la terre et le soleil un roman magistral, qui incarne la folie et l'enfer de la colonisation de l'Algérie au 19e siècle.

Attaquer la terre et le soleil narre le destin d'une poignée de colons et de soldats pris dans l'enfer oublié de la colonisation algérienne, au dix-neuvième siècle. Et en un bref roman, c'est toute l'expérience d'un écrivain qui subitement se cristallise et bouleverse, une voix hantée par Faulkner qui se donne.
Depuis plus de vingt ans, Mathieu Belezi construit une œuvre romanesque d'une cohérence étonnante, à la phrase ciselée. La musicalité qui frappe dès les premières lignes d' Attaquer la terre et le soleil fait écho à Le Petit Roi, son premier roman publié en 1998 aux éditions Phébus. Quant à son thème, il renvoie évidemment à sa grande trilogie algérienne, publiée successivement aux éditions Albin Michel ( C'était notre terre, 2008) et Flammarion ( Les vieux Fous, 2011 ; Un faux pas dans la vie d'Emma Picard, 2015). Est-ce la constance de ce parcours qui explique la fulgurance de ce nouveau roman ? Écrit en quelques mois, Attaquer la terre et le soleil dit en tout cas avec une beauté tragique, à travers les voix d'une femme et d'un soldat, la folie, l'enfer, que fut cette colonisation.

Catherine qui n'a pas pu être présente est en pleine lecture d'un roman de Maxime Chattam L'âme du mal. 



Abandonnés au fond de la forêt ou de hangars vétustes, des cadavres comme on n'en a jamais vu, mutilés de façon rituelle, porteurs de messages cabalistiques semblables à ceux que laissait derrière lui le bourreau de Portland, avant qu'une balle dans la tête ne vienne à bout de sa carrière... Le tueur serait-il revenu d'outre-tombe ? S'agit-il d'une secte particulière qui prélève toujours les mêmes morceaux du corps de ses victimes pour d'étranges cérémonies ?

Des bibliothèques ésotériques aux égouts de la ville, l'inspecteur Brolin et une jeune étudiante en psychologie plongent dans une enquête infernale, tandis que la police scientifique et la médecine légale se perdent en conjectures. Et peu à peu, des brumes mystérieuses de la Willamette River va surgir un secret effroyable que nos deux limiers devront affronter au péril de leur âme.

Ensuite il y a un nouveau participant imprévu qui nous a rejoint et il nous a parlé des romans de Luca Di Fulvio.  



New York ! En ces tumultueuses années 1920, pour des milliers d’Européens, la ville est synonyme de « rêve américain ». C’est le cas pour Cetta Luminata, une Italienne qui, du haut de son jeune âge, compte bien se tailler une place au soleil avec Christmas, son fils.

Dans une cité en plein essor où la radio débute à peine et le cinéma se met à parler, Christmas grandit entre gangs adverses, violence et pauvreté, avec ses rêves et sa gouaille comme planche de salut. L’espoir d’une nouvelle existence s’esquisse lorsqu’il rencontre la belle et riche Ruth. Et si, à ses côtés, Christmas trouvait la liberté, et dans ses bras, l’amour ?


1913, trois jeunes gens embarquent pour l’Argentine. La rebelle Rosetta fuit son village italien. A la mort de ses parents, harcelée, elle n’a eu d’autre choix que d’abandonner sa ferme. Rocco, fier et fougueux jeune homme, laisse derrière lui sa Sicile natale. Il refuse de se soumettre à la Mafia locale. Raechel, petite juive russe, a vu sa famille décimée dans un pogrom. Elle n’emporte avec elle que le souvenir de son père. Le nouveau monde les réunira.

Après New York, Luca Di Fulvio nous emmène à Buenos Aires. Un parcours semé d’embuches, où amitié, amour et trahisons s’entremêlent… Un grand Di Fulvio.

Il y a encore deux livres qui ont été évoqués ci-dessous. 



" Les tueurs voient l'enfer que nous avons sous nos pieds, tandis que nous, nous ne voyons que les fleurs... "

Dans les montagnes sauvages du Frioul, en Italie, le commissaire Teresa Battaglia, la soixantaine, la langue acérée et le coeur tendre, est appelée sur les lieux d'un crime pour le moins singulier : un homme a été retrouvé mort, les yeux arrachés. À côté de lui, un épouvantail fabriqué avec du cuivre, de la corde, des branchages... et ses vêtements ensanglantés.
Pour Teresa, spécialiste du profilage, cela ne fait aucun doute : le tueur frappera à nouveau. Elle va devoir rassembler toute son énergie et s'en remettre à son expérience pour traquer cette bête humaine qui rôde dans les bois. Si tant est que sa mémoire ne commence pas à lui faire défaut...
Une auteure au talent magistral.
Un thriller au rythme implacable.
Une héroïne d'une extraordinaire humanité.
" L'Italie tient enfin sa reine du thriller ! " Sandrone Dazieri.
" Inoubliable ! " Donato Carrisi.




En avril 1912, Letta et Molly Alistair, deux jeunes sœurs rescapées du naufrage du Titanic dans lequel le reste de leur famille a péri, débarquent à New York. Molly, absente, est plongée dans un profond mutisme. Letta doit puiser très loin en elle pour survivre dans cette ville qu'elle n'aime pas. Elle trouve un poste de vendeuse dans la pharmacie-apothicaire C.O. Bigelow.



Pour ma part j'ai lu Terra Mater de Nicolas Nutten, un nouveau thriller très passionnant qui se passe dans un endroit très sombre c'était à couper le souffle. 


Erwan et Tony, deux amis passionnés de sports extrêmes, testent une nouvelle application de géocaching qui les amène à explorer une grotte inconnue. Là, une découverte tragique va marquer le point de départ d'une nouvelle partie de jeu terrifiante.

De son côté, la lieutenante Romane Delmiez, dont la carrière stagne, est affectée à une nouvelle enquête pour homicide. Si la jeune femme s'empresse d'accepter la mission, y voyant une opportunité de s'échapper de la routine quotidienne, elle était loin d'imaginer les sombres révélations de cette affaire qui l'amèneront à douter de tous... y compris d'elle-même.
Un jeu dangereux, des secrets bien enfouis : un thriller captivant où le passé risque bien de resurgir des profondeurs de la Terre...

Ensuite les éditions Taurnada mon envoyé le dernier roman policier  de Christophe Royer Famille décomposée. J'ai adoré mon article va bientôt être publié. 




À Lyon, au cimetière de Loyasse, un homme est retrouvé assassiné près de la tombe d'un célèbre guérisseur. Découvert par sa mère, tout porte à croire que ce meurtre n'est que le début d'une longue cabale déclenchée contre la famille Daventure.

De par sa complexité, cette nouvelle affaire est un défi de taille pour le commandant Nathalie Lesage et son équipe.
Dans les rues d'un Lyon aussi secret que mystérieux, où la petite histoire va croiser la grande, cette enquête va bouleverser la vie de notre héroïne…
Un thriller percutant sur lequel plane l'ombre de Raspoutine, personnage historique qui continue à intriguer et stimuler l'imaginaire collectif.

Je remercie tous les participants et je vous donne rendez-vous le Vendredi 2 Février à 16h00 au café Rubis place Saint Louis. 


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