Nous rêvions juste de liberté de Henri Loevenbruck

4° de couverture 

« Nous avions à peine vingt ans, et nous rêvions juste de liberté. » Ce rêve, la bande d’Hugo va l’exaucer en fuyant la petite ville de Providence pour traverser le pays à moto. Ensemble, ils vont former un clan où l’indépendance et l’amitié règnent en maîtres. Ensemble ils vont, pour le meilleur et pour le pire, découvrir que la liberté se paye cher.

Nous rêvions juste de liberté réussit le tour de force d’être à la fois un roman initiatique, une fable sur l’amitié en même temps que le récit d’une aventure. Avec ce livre d’un nouveau genre, Henri Lœvenbruck met toute la vitalité de son écriture au service de ce road movie fraternel et exalté.

Mon ressenti 

Un grand coup de poing dans le ventre et une larme à l’œil, je referme ce roman avec tristesse. 
Hugo et sa bande m'ont emportés dans une sacrée aventure, ou violence, Alcool, Drogue, Sexe
et Rock & Roll, nous emportent dans un monde à part, le monde des Bickers.
Une bande de rebelles avide de liberté, amoureux de leurs bécanes ils vont s'éclater et parcourir un bon chemin ensemble mais hélas la liberté ne dure pas longtemps et une terrible descente aux enfers se présente à eux.
L'amitié est fragile parfois il suffit d'une fois de trop et la drogue arrache la vie, l'argent et le pouvoir déchirent l’amitié. L'amour se tire aussi vite qu'une moto en pleins désert.
Nous rêvions juste de liberté mais quand la trahison arrive ça fait mal.
Je ne raconte surtout pas l'histoire car elle est très prenante, du début à la fin et c'est à vous de la découvrir.
Mon cœur était gros à la fin de ce magnifique road movie et l'envie de partir très loin est encore plus forte après lecture .
Merci à l'auteur de m'avoir donné le plein d’émotions et j'ai bien rigolé à certains passages. 

J'ai noté un petit passage qui m'a plu :

Page 241

" Dans la vie, je crois qu'il vaut mieux montrer ses vrais défauts que ses fausses qualités. Vaut mieux surprendre que décevoir. "