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samedi 4 août 2018

Les fantômes de Manhattan de R.J. Ellory




4° de couverture 



Annie O’Neill, 31 ans, est une jeune fille discrète. Elle tient une petite librairie en plein cœur de Manhattan, fréquentée par quelques clients aussi solitaires et marginaux qu’elle.
Son existence est bouleversée par la visite d’un nommé Forrester, qui se présente comme un très bon ami de ses parents, qu’elle n’a pratiquement pas connus.
L’homme est venu lui remettre un manuscrit. Celui-ci raconte l’histoire d’un certain Haim Kruszwica, adopté par un soldat américain lors de la libération de Dachau, devenu ensuite une des grandes figures du banditisme new-yorkais.
 Quel rapport avec l’histoire intime d’Annie ?
 Et pourquoi le dénommé Forrester est-il si réticent à lui avouer la vérité ?
 Lorsqu’elle lui sera enfin dévoilée, celle-ci sera plus inattendue et incroyable que tout ce qu’elle a pu imaginer.


Mon ressenti 



Ce roman est surprenant c'est un autre style que nous fait découvrir R.J. Ellory, un roman qui nous raconte l'histoire d' Annie O' Neill, une jeune libraire New-yorkaise qui va découvrir son passé d'une manière surprenante.
Parfois très mélancolique, elle a du mal à rencontrer l'amour mais un jour un vieux monsieur va rentrer dans cette petite librairie et lui faire découvrir des lettres qui racontent la vie de deux personnages abimés, deux amis qui ont un lourd passé en commun dans le grand banditisme.
 Des retours dans le passé qui remontent jusqu'à la deuxième guerre mondiale en Europe de l'est, jusqu'aux États-Unis.
Annie va trouver l'amour mais hélas de courte durée car comme au fur et à mesure de l'histoire, tout n'est que mensonges et trahisons, des affaires de dollars disparus qui apportent haine et rancœurs.
 Une descente vertigineuse en enfer qui va lui faire découvrir la vérité sur son père, et un final grandiose qui laisse penser qu'on doit toujours garder espoir.
 Heureusement qu’elle a le soutien de son voisin qui l’épaulera tout au long de ses mésaventures.
J'ai adoré ce roman que j'ai eu du mal à le lâcher, l’histoire est vraiment prenante et ma emportée dans une époque où New-York est sombre la mort rode et la violence règne dans les bas-fonds des rues de la grosse pomme.
 Bon samedi les amis et je vous conseille de le lire et un grand merci à l'auteur que j'admire beaucoup pour son talent exceptionnel. 


Auteur 


Hall du livre à Nancy, ma première rencontre avec l'auteur R.J.Ellory que du bonheur. le13/10/2016.

Roger Jon Ellory est un auteur anglais de romans policiers et de thrillers.

Il habite dans une maison avec sa mère, son frère d'un an son ainé et sa grand-mère.
 Il n'a jamais connu son père et son grand père est mort noyé en 1957.
 À la suite d'une épidémie, sa mère meurt d’une pneumonie foudroyante à 28 ans alors qu'il a à peine 7 ans.
 C'est sa grand-mère qui va l'élever seule.
 Mais elle a une santé fragile, et finalement décide de le placer en orphelinat avec son frère. Il y reste jusqu'à l'âge de 16 ans.
Il étudie la musique, joue de la trompette, dans le registre classique aussi bien que dans celui du jazz. Il fait des études d’arts, et étudie notamment la photographie.

 Il devient un temps guitariste du groupe de rock "The Manta Rays", avant de se tourner vers la photographie.Il commence à écrire en 1987. Entre 1987 et 1993, R.J. Ellory écrit pas moins de vingt-deux romans, chacun lui valant des refus éditoriaux des deux côtés de l'Atlantique. Il devra attendre 2003 pour que son roman, "Candlemoth", soit publié. Et depuis, chaque année il publie un nouveau livre.
R.J. Ellory est lauréat du prix Nouvel Obs/BibliObs du roman noir 2009 pour "Seul le silence" (A Quiet Belief in Angels, 2007).
 Aujourd'hui il se consacre pleinement à son écriture et à la musique avec son groupe de blues, "The Whiskey Poets". Son œuvre, populaire et plébiscitée notamment en France, est fortement ancrée aux États-Unis malgré les origines britanniques d' Ellory. " source Babelio"


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