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vendredi 22 février 2019

J'irai tuer pour vous de Henri Lœvenbruck



Éditions Flammarion



4° de couverture 


1985, Paris est frappé par des attentats comme le pays en a rarement connu.
Dans ce contexte, Marc Masson, un déserteur parti à l’aventure en Amérique du Sud, est soudain rattrapé par la France. Recruté par la DGSE, il est officiellement agent externe mais, officieusement, il va devenir assassin pour le compte de l’État.
Alors que tous les Services sont mobilisés sur le dossier libanais, les avancées les plus sensibles sont parfois entre les mains d’une seule personne… Jusqu’à quel point ces serviteurs, qui endossent seuls la face obscure de la raison d’État, sont-ils prêts à se dévouer? Et jusqu’à quel point la République est-elle prête à les défendre?
Des terrains d’opérations jusqu’à l’Élysée, des cellules terroristes jusqu’aux bureaux de la DGSE, Henri Loevenbruck raconte un moment de l’histoire de France – qui résonne particulièrement aujourd’hui – dans un roman d’une tension à couper le souffle. Pour écrire ce livre, il a conduit de longs entretiens avec «Marc Masson» et recueilli le récit de sa vie hors norme.




Mon ressenti 



 Henri Lœvenbruck nous a concocté un fabuleux thriller, des pages et des pages remplies d’aventures, d’actions qui m’ont fait revivre des moments tragiques de notre pays.
À cette époque, j’étais un peu trop jeune pour m’y intéresser, je devais avoir dix ans.
C’était pour moi un réel plaisir de découvrir l’histoire passionnante de Marc Masson qui a eu la chance d’avoir une vie incroyable avec des moments tragiques, mais heureusement des moments de bonheur intense avec la femme qu’il a aimé." Une jeune et jolie libraire"
Il y a aussi des moments de souffrance qui m’ont emporté dans un endroit sinistre et glauque où personne n’aimerait se retrouver enfermé. Un lieu qui rend fou où l’on n’a pas le choix, il faut rester fort pour s’en sortir vivant.
C'est sous la présidence de François Mitterrand que le terrorisme fait déjà des ravages dans notre pays ainsi qu'au Liban.
Des cellules terroristes commencent à poser des bombes, afin de faire cesser ces massacres les services secrets doivent se mettre en action.
 La DGSE s'organise afin d'éliminer certaines personnes du tableau des indésirables.
Marc Masson, ancien militaire français est sûrement l'homme qu'il fallait pour mener à bien ces missions périlleuses, il est résistant et ne craint pas le danger. 
Pour lui tuer n’est pas un problème car c’est dans ses gènes.
Un personnage fort ayant beaucoup de dons dans son métier, un fantôme de l’état payé pour tuer, le plus gros souci c’est qu’il ne doit surtout pas se faire attraper.
Du début à la fin, j'ai suivi le parcours de cet homme qui nous raconte son histoire dans des lettres très émouvantes qui nous transpercent le cœur.
Ce roman est vraiment très bien écrit, un travail très minutieux que l’auteur a pris son temps de nous écrire avec beaucoup de talent.
Je me serais cru emportée dans un très bon film d'espionnage.
Pourquoi ne pas en faire un bon film ? Qu'elle bonne idée.
Une belle histoire d'amour commence pour lui et va changer le cours de sa vie et lui donner une bonne raison de se battre pour rester en vie. 
En plus cette histoire nous fait voyager, pour découvrir des endroits très dépaysant,  ça commence en Amérique du sud puis on décolle pour la France ensuite au Liban avec un petit détour en Autriche pas très réjouissant.
C’est à vous maintenant de découvrir cette pépite mes amis lecteurs.
Si comme moi vous admirez l’écriture d’Henri Lœvenbruck, foncez-vous procurer son dernier roman.
 Il ne faut pas oublier Marc Masson, un homme courageux qui a vécu sa vie avec un flingue dans une main et un livre dans l'autre.





Auteur 





 


Henri Lœvenbruck

Après une jeunesse partagée entre le 11e arrondissement de Paris et l'Angleterre, Henri Lœvenbruck fait une khâgne au lycée Chaptal à Paris, une maîtrise d'anglais à la Sorbonne, puis se lance dans le journalisme et la musique.
 Il publie son premier roman en 1998 aux éditions Baleine, sous le pseudonyme de Philippe Machine. Sa trilogie de La Moïra (publiée entre 2001 et 2003) se vend à 300 000 exemplaires toutes éditions confondues et est traduite en douze langues.
 Il se lance ensuite dans le thriller avec les éditions Flammarion où il rencontre à nouveau le succès, notamment avec la série d'Ari Mackenzie, vilain petit canard des Renseignements généraux, dans laquelle il dénonce notamment les dérives de grandes ONG en Afrique.
Dans les années 1990, Henri Lœvenbruck chantait et jouait de l’orgue Hammond dans divers groupes de rock parisiens. Début 2008, après avoir écrit des chansons pour d’autres artistes (comme Kelks), il décide de remonter sur scène pour présenter une douzaine de chansons « à texte ». En 2009, il participe, en tant que traducteur et choriste, à l'album Molly Malone – Balade irlandaise de son ami Renaud.
En 2009, il a enregistré un mini LP, en collaboration avec Vincent-Marie Bouvot.
 De 2013 à 2015, il rejoint le groupe de rock Freelers , qui fait de nombreux concerts dans des festivals en France, et au sein duquel il joue du clavier et de l'orgue Hammond.
Il est membre du collectif d'artistes La Ligue de l'Imaginaire.
En juillet 2011, il a été nommé Chevalier de l'Ordre des Arts et des Lettres.
( source: Wikipédia.)

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