O. de K.
À la suite de son best-seller Ocean's Song, Olivier de Kersauson revient sur ses courses et ses records, mais aussi – et peut-être surtout – sur son parcours intérieur.
Le Monde comme il me parle est un livre intime. Le navigateur annonce son retrait de la compétition et dévoile, pour la première fois, la carte de ses sentiments.
Une formidable ode à la mer et à la vie, le texte rare d'un homme au franc-parler, pudique et passionné, qui nous offre ses aventures et ses élans.
Mon avis
Très bon moment de lecture qui donne des envies d'évasion , avec beaucoup d'émotions Olivier de Kersauson nous raconte son chemin de vie . Il a soif de liberté , la solitude est sa meilleure compagne.
Un grand écrivain , qui par sa parole poétique nous fait ressentir son amour du grand large. Pour moi cet homme est un grand héros , il a mené sa vie comme bon lui semble et je pense que ça donnera envie à beaucoup de lecteurs d'apprécier chaque moment , de vivre sans contraintes et de prendre le temps , le plaisir avant tout.
Roman très détaillé , de ses débuts à maintenant ou il nous fait part de sa retraite paisible à Tahiti ou il savoure des moments de calme de tranquillité et profite des merveilleux paysages des îles de Polynésie. J'ai tellement aimé ce livre que je viens de commandé Océan's songs .
Envie de rêve et d' évasion alors plongez vous dans ce roman , il est excellent .
L'auteur
Olivier DE KERSAUSON
Issu d'un milieu conservateur, Olivier de Kersauson de Pennendreff se trouve très tôt en rupture avec les valeurs de son milieu. Il se fait renvoyer de tous les lycées religieux qu'il fréquente. Mais il décroche le baccalauréat puis s'engage dans des études supérieures : "J'ai fait de l'économie en fac, le prof avait un costume pas frais, je me suis dit que c'était une arnaque totale ; s'il avait compris l'économie, il ne serait pas là".
La mer lui permet de rendre positive cette révolte. Pendant son service militaire, il rencontre Eric Tabarly. Il sera son second pendant dix ans. En 1975, il décide de devenir skipper. Il se lance, en 1988, dans un tour du monde en solitaire que seuls Alain Colas et Philippe Monnet avaient osé tenter avant lui sur un multicoque. Cent vingt-cinq jours durant il découvre "la solitude absolue dans la beauté sauvage et hostile des Quarantièmes Rugissants et l'odeur âcre de la peur".
En 1997, il remporte le trophée Jules Verne en 71 jours. S'il est connu pour ses qualités de marin, il l'est aussi pour son franc-parler, son incapacité à se soumettre aux règles, son autoritarisme sur les bateaux (il dit pratiquer "une dictature éclairée") et sa fascination pour les nouvelles technologies appliquées à la voile.
Bel avis. Envie d'évasion
RépondreSupprimerJ'en ai toujours eus mais là c'est encore plus fort
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