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samedi 28 octobre 2023

Club littéraire au café Rubis du 27 Octobre 2023




 Je vous fais aujourd'hui un petit résumé de notre première rencontre littéraire au Café Rubis du 27 Octobre 2023. 

Nous avons passé un agréable moment en toute convivialité autour d'un verre dans un endroit agréable sous cette magnifique bibliothèque. " Photo ci-dessus. "

J'ai commencé par présenter les participantes, hélas pas de lecteurs.

Nous étions cinq lectrices, pour un premier évènement, j'étais très satisfaite mais j'espère que nous serons plus nombreuses la prochaine fois et que des lecteurs nous rejoindrons. 

Ensuite un petit tour de table pour parler du dernier livre lu et j'ai demandé quel genre de livres ont été lus et ceux qui nous ont marqués. 

Voir la liste ci dessous. 

Déborah a parlé de Dakota Song d'Ariane Bois,



New York, 1970. Shawn Pepperdine, jeune de Harlem, assiste, horrifié, au meurtre de son meilleur ami. Pour échapper aux assassins, il trouve refuge dans les sous-sols du Dakota, l'immeuble le plus mythique de Manhattan.

Au coeur d'une ville en pleine ébullition, le Dakota reste, lui, immuable : un club très fermé, un château médiéval sur Central Park, un havre de paix des " rich and famous ". S'y côtoient Lauren Bacall, Leonard Bernstein et Rudolf Noureev. Ici, Polanski tournera les images du film Rosemary's Baby.
Devenu le premier portier noir du Dakota, Shawn côtoie ses résidents : Nigel, Abigail, Nathan, Cherie, Becky, Andrew, Tyler et les autres.
Quand la plus grande star du monde, John Lennon, emménage à son tour, l'immeuble et sa communauté s'enflamment...
Dakota Song est le portrait survolté d'une Amérique en pleine révolution artistique, intellectuelle et sexuelle, celle de la Beatlemania et du disco, du Studio 54 de Warhol et du Chelsea Hotel, du scandale du Watergate et d'une décennie de violences.

 Mortelle Moselle de Nicolas Turon qui est un auteur très sympathique qui écrit des histoires qui se passent dans notre département.


Imaginez une balade tout en noirceur et en humour dans notre département… Mortelle Moselle, c’est douze nouvelles policières écrites suite à de vraies enquêtes menées dans les villages, à la rencontre d’habitants, un itinéraire du fait divers à déguster d’un trait ou par petites lampées… Du polar de trottoir, qui se sert des petites histoires pour révéler le cœur de notre chère Moselle ! « Une collection de polars ultrarégionaux écrits sans Peugeot 403 ni pipe, mais avec une belle plume et beaucoup d’empathie. » France 3 « Les auteurs, deux génies des mots, se sont imprégnés de l’ambiance, de l’histoire, des gens d’ici. » Le Républicain Lorrain « Inspirée de faits réels et d’anecdotes glanées auprès des habitants, cette fiction mosellane s’avère aussi loufoque qu’instructive. Un polar gouailleur digne de San Antonio. » Télérama



 Elle nous a parlé du film Sleepers qui la marqué tiré du roman de Lorenzo Carcattera, une histoire vécue par l'auteur. 




Le " Hell's Kitchen " des années soixante, quartier misérable et mal famé de Manhattan, c'est le décor de West Side Story. Des immeubles délabrés et des terrains vagues pour tout horizon. Pour échapper à l'asphyxie, quatre gosses se tournent vers la camaraderie, les filles, le base-ball, les jeux violents et le vagabondage. La rue leur appartient. Ils en ont fait leur paradis. Un chapardage qui tourne mal les en chasse. Michael, John, Tommy et Lorenzo sont jetés dans une maison de correction et livrés, une année durant, à la peur, à l'humiliation, au sadisme et au viol. Des années plus tard, le cauchemar n'est pas dissipé. Deux de ces enfants sont devenus des tueurs patentés. Et dans le cœur de chacun, désormais, la haine et le désir de se venger...



En 1967, dans le quartier new-yorkais de Hell's Kitchen à Manhattan, quatre jeunes amis inséparables, Shakes, Michael, John et Tommy, vivent dans les rues sous le regard bienveillant du père Bobby. Malgré l'attention de l'homme d'Église pour maintenir les quatre copains sur la bonne voie, ceux-ci mènent une vie difficile, marquée notamment par leur rencontre avec King Benny, le parrain local de la pègre. Ce dernier leur confie des petits boulots tels que transporter des fonds. Ils ont une amie, Carol, qui les suit dans leurs aventures.

Leur destinée est bouleversée par une farce qui tourne au drame lorsque le chariot à hot dog qu'ils viennent de dérober devient l'instrument d'un grave accident manquant de tuer un passant. Après leur procès, ils sont condamnés et envoyés pour un an dans une maison de redressement pour mineurs, Wilkinson Home For Boys, une des plus strictes de l'État de New York.

À Wilkinson, les geôliers sont des sadiques, battant et violant les jeunes garçons dont ils ont la garde. Le quatuor tente de prendre sa revanche contre les gardiens en utilisant le match "amical" de football américain avec les gardiens pour ce faire, avec l'aide de Rizzo, un adolescent noir leader des autres détenus. Cela ne résulte qu'en l'envoi des cinq gamins en isolement, Rizzo finissant battu à mort par les gardiens, la cause de la mort étant officiellement attribuée à une pneumonie. Les adolescents font alors un pacte qui les lie dans le silence.


Elle nous parlé d'un roman de Gaëlle Josse qui l'a laissé perplexe mais que Véronique a beaucoup aimé. Le dernier gardien d'Ellis Island. 



New York, 3 novembre 1954. Dans cinq jours, le centre d'Ellis Island, passage obligé depuis 1892 pour les immigrants venus d'Europe, va fermer. John Mitchell, son directeur, officier du Bureau fédéral de l'immigration, resté seul dans ce lieu déserté, remonte le cours de sa vie en écrivant dans un journal les souvenirs qui le hantent : Liz, l'épouse aimée, et Nella, l'immigrante sarde porteuse d'un étrange passé.

Un moment de vérité où il fait l'expérience de ses défaillances et se sent coupable à la suite d'événements tragiques. Même s'il sait que l'homme n'est pas maître de son destin, il tente d'en saisir le sens jusqu'au vertige.
A travers ce récit résonne une histoire d'exil, de transgression, de passion amoureuse d'un homme face à ses choix les plus terribles.
Ce livre fait partie du tiercé final du prix des libraires 2015.



Fabienne nous a parlé de sa lecture en cours.

 Le roman de Stephen King Cujo.



"La chaleur tuera cet été! Ça va être terrible"; avait prédit Evvie Chalmers, la doyenne de Castle Rock. Elle ne se trompait pas: l'été 1980 fut effectivement le plus chaud que Castle Rock eût jamais connu. Ce fut aussi un été sanglant.

En fait, tout commença le matin du 16 juin, lorsque Cujo, un saint-bernard aussi impressionnant que débonnaire, se fit mordre par une chauve-souris. Mais au fond, cela avait peut-être commencé dès le mois de mai, lorsque Tad Trenton avait cru voir un monstre, dans le placard de sa chambre...
Bien sûr, ses parents l'avaient rassuré, il avait fait un cauchemar, les monstres n'existent pas, voyons!
Ils se trompaient: même dans les petites villes paisibles, les monstres guettent, tapis dans l'ombre…


Des romans de Gilles Legardinier ayant participé a l'avant première au cinéma Kinépolis du Muse et d'y rencontrer l'auteur qui est plein d'humanité. 






Ensuite elle nous a parlé de Katherine Pancol et de sa trilogie  



Ce roman se passe à Paris. Et pourtant on y croise des crocodiles.

Ce roman parle des hommes. Et des femmes. Celles que nous sommes, celles que nous voudrions être, celles que nous ne serons jamais, celles que nous deviendrons peut-être.


Ce roman est l’histoire d’un mensonge. Mais aussi une histoire d’amours, d’amitiés, de trahisons, d’argent, de rêves.
Ce roman est plein de rires et de larmes.


Catherine nous a parlé du roman de Sire Cédric Du feu de l'enfer car elle l'a lu et  beaucoup aimé, son genre de lecture ce sont les romans qui sont bien saignants.



Manon maquille les cadavres, Ariel maquille les voitures. Elle est thanatopractrice, il est délinquant. Ils sont frère et sœur. Un jour, l'une des combines d'Ariel tourne mal et Manon se retrouve complice malgré elle. Lorsque les assassinats les plus sordides s'accumulent autour d'eux, traçant un jeu de piste sanglant vers une secte satanique, le capitaine Raynal s'intéresse à leur cas. Commence alors une traque qui brouillera les limites entre alliés et prédateurs et mettra à l'épreuve les liens du sang.

Sire Cédric revient en chef d'orchestre du suspense et des frissons, avec un nouveau concerto qui fait la part belle au souffle du vent dans la nuit noire et aux gémissements des corps torturés. Subtil et maîtrisé, ce conte d'horreur moderne allie à la justesse d'une réflexion sur les relations familiales les retournements de situation les plus ébouriffants.


Actuellement elle lit Avides de Tom Clearlake dont j'ai lu le résumé qui m'a donné vraiment envie de le lire. 



Paris. Au fond d’une cave d’un immeuble de Belleville, douze corps sont retrouvés morts, exsangues.

Le 36 est sur la brèche. Ces faits rappellent à la capitaine Julie Delorme sa première scène de crime, treize ans plus tôt, celle d’un enfant apparemment atteint de démence qui avait tué ses parents pour se nourrir de leur sang. Convaincue qu’il existe un lien entre les deux affaires, Julie va affronter son plus vieux démon et se lancer dans une enquête à haut risque.


Ensuite Véronique nous a parlé de la rentrée littéraire et des romans qu'elle a dévoré. Des auteurs nordiques qu'elle a lu par exemple Lars Kepler et de la trilogie Reykjavik noir de Lilja Sigurdardottir, Piégée, le Filet et la cage. 



Qui est cette jeune femme élégante et décidée qui traverse régulièrement les salles d'embarquement de l'aéroport de Keflavík? Bragi, le vieux douanier, n'en doute pas: Sonja risque sa vie. Devenue passeuse de cocaïne, elle est contrainte à un jeu dangereux avec de puissants narcotrafiquants. Tout en composant avec un ex-mari pervers. Pourtant, en silence, Sonja prépare sa vengeance. Elle ne laissera pas le piège se refermer sur elle.

Née en 1972 en Islande, Lilja Sigurdardóttir est auteur de théâtre et de romans noirs. Piégée est le premier tome de la trilogie «Reykjavik noir».



Sonja, contrainte de transporter des valises de drogue pour continuer à voir son petit garçon, a un vrai talent de passeuse et un complice inattendu à la douane de Keflavík. Elle rêve de fuir les chantages affectifs de son ex-mari, mais aussi celui de sa compagne, l’ex banquière à l’amour encombrant, qui a détourné les fonds d’un puissant homme politique et passe devant une commission d’enquête financière.
Quand elle découvre que la perversité des femmes est encore plus redoutable que la cruauté des hommes, elle prend les événements à bras-le-corps et s’attaque aux plus puissants des malfrats.
Une intrigue pleine de surprise, du chantage à l’amour maternel, un double jeu inquiétant, une héroïne élégante hors du commun, le tout sur un rythme sans faille.


Agla travaille dans la finance, accusée d'évasion de capitaux, elle a été emprisonnée et se languit d'amour pour Sonia qui l'a abandonnée. À bout, elle tente de se suicider. C'est le moment que choisit un industriel qui connaît son habileté et son flair pour lui proposer une enquête sur le stockage de l'aluminium. Agla ne peut pas résister au challenge et choisit Maria, journaliste d'investigation complexée qui est à l'origine de sa propre condamnation, pour aller sur le terrain. Apparaît alors dans la cellule voisine une très jeune femme qui sort de désintoxication et essaye d'attirer son attention. Pendant ce temps un adolescent amoureux prépare une action d'éclat pour séduire sa petite amie. Il est aussi le fils d'un homme d'affaires mafieux ennemi intime d'Agla. En un tour de main, sur un rythme déconcertant et séduisant, Lilja Sigurdardóttir nous initie aux trafics des matières premières et aux dessous du transport de la drogue en Islande, nous fait assister à la naissance improbable d'une histoire d'amour et nous prouve qu'une femme sexy et sûre de son intelligence retombe toujours sur ses pieds. Un grand feu d'artifice habile et intelligent.


Triste Tigre de Neige Sinno.


 


« Il disait qu’il m’aimait. Il disait que c’est pour pouvoir exprimer cet amour qu’il me faisait ce qu’il me faisait, il disait que son souhait le plus cher était que je l’aime en retour. Il disait que s’il avait commencé à s’approcher de moi de cette manière, à me toucher, me caresser c’est parce qu’il avait besoin d’un contact plus étroit avec moi, parce que je refusais de me montrer douce, parce que je ne lui disais pas que je l’aimais. Ensuite, il me punissait de mon indifférence à son égard par des actes sexuels. »

Entre 7 et 14 ans, la petite Neige est violée régulièrement par son beau-père. La famille recomposée vit dans les Alpes, dans les années 90, et mène une vie de bohème un peu marginale. En 2000, Neige et sa mère portent plainte et l’homme est condamné, au terme d’un procès, à neuf ans de réclusion. Des années plus tard, Neige Sinno livre un récit déchirant sur ce qui lui est arrivé. Sans pathos, sans plainte. Elle tente de dégoupiller littéralement ce qu’elle appelle sa « petite bombe ». Il ne s’agit pas seulement de l’histoire glaçante que le texte raconte, son histoire, une enfant soumise à des viols systématiques par un adulte qui aurait dû la protéger. Il s’agit aussi de la manière dont fonctionne ce texte, qui nous entraîne dans une réflexion sensible, intelligente, et d’une sincérité tranchante. Ce livre est un récit confession qui porte autant sur les faits et leur impossible explication que sur la possibilité de les dire, de les entendre. C’est une exploration autant sur le pouvoir que sur l’impuissance de la littérature. Pour se raconter, la narratrice doit interroger d’autres textes, d’autres histoires. Elle nous entraîne dans une relecture radicale de Lolita de Nabokov, ou de Virginia Woolf, et de nombreux autres textes sur l’inceste et le viol (Toni Morrison, Christine Angot, Virginie Despentes). Comment raconter le « monstre », « ce qui se passe dans la tête du bourreau », ne pas se contenter du point de vue de la victime ? Jusqu’à reprendre la question que le poète William Blake adressait au Tigre : « Comment Celui qui créa l’Agneau a-t-il pu te créer ? » (The Tyger). Le récit de Neige Sinno nous fait alors entrer dans la communauté de celles et ceux qui ont connu « l’autre lieu », celui de la nuit et du mal, qui ont pu s’en extraire mais qui en sont à jamais marqués, et se tiennent ainsi à la frontière des ténèbres et du jour. Nulle résilience. Aucun oubli ni pardon. Juste tenter de tenir debout, écrire son récit comme une « petite bombe artisanale qu’on fait exploser tout seul chez soi, dans l’intimité de la lecture. Elle a l’intensité et la fragilité des choses conçues dans la solitude et la colère. Elle en a aussi la folle et ridicule ambition, qui est de faire voler ce monde en éclats. »


Veiller sur elle de Jean Baptiste Andréa. 



Au grand jeu du destin, Mimo a tiré les mauvaises cartes. Né pauvre, il est confié en apprentissage à un sculpteur de pierre sans envergure. Mais il a du génie entre les mains.

Toutes les fées ou presque se sont penchées sur Viola Orsini. Héritière d'une famille prestigieuse, elle a passé son enfance à l'ombre d'un palais génois. Mais elle a trop d'ambition pour se résigner à la place qu'on lui assigne.
Ces deux-là n'auraient jamais dû se rencontrer. Au premier regard, ils se reconnaissent et se jurent de ne jamais se quitter. Viola et Mimo ne peuvent ni vivre ensemble, ni rester longtemps loin de l'autre. Liés par une attraction indéfectible, ils traversent des années de fureur quand l'Italie bascule dans le fascisme. Mimo prend sa revanche sur le sort, mais à quoi bon la gloire s'il doit perdre Viola ?
Un roman plein de fougue et d'éclats, habité par la grâce et la beauté.

L'enragé de Sorj Chalandon.



« Je n’ai pas le droit aux sentiments. Les sentiments c’est un océan, tu t’y noies. Pour survivre ici, il faut être en granit. Pas une plainte, pas une larme, pas un cri et aucun regret. Même lorsque tu as peur, même lorsque tu as faim, même lorsque tu as froid, même au seuil de la nuit cellulaire, lorsque l’obscurité dessine le souvenir de ta mère dans un recoin. Rester droit, sec, nuque raide. N’avoir que des poings au bout de tes bras. Tant pis pour les coups, les punitions, les insultes. S’évader les yeux ouverts et marcher victorieux dans le sang des autres, mon tapis rouge. Toujours préférer le loup à l’agneau. »

Dans la nuit du 27 août 1934, cinquante-six gamins se révoltent et s’échappent de la colonie pénitentiaire pour mineurs de Belle-Île-en-Mer. Voici ouverte la chasse aux enfants. Tous sont capturés. Tous ? Non : aux premières lueurs de l’aube, un évadé manque à l’appel. Voici son histoire…


Bernhard Schlink Le liseur. 


À quinze ans, Michaël fait par hasard la connaissance, en rentrant du lycée, d'une femme de trente-cinq ans dont il devient l'amant. Pendant six mois, il la rejoint chez elle tous les jours, et l'un de leurs rites consiste à ce qu'il fasse la lecture à haute voix. Cette Hanna reste mystérieuse et imprévisible, elle disparaît du jour au lendemain. Sept ans plus tard ; Michaël assiste, dans le cadre de ses études de droit, au procès de cinq criminelles et reconnaît Hanna parmi elles. Accablée par ses coaccusées, elle se défend mal et est condamnée à la détention à perpétuité. Mais, sans lui parler, Michaël comprend soudain l'insoupçonnable secret qui, sans innocenter cette femme, éclaire sa destinée, et aussi cet étrange premier amour dont il ne se remettra jamais.

Il la revoit une fois, bien des années plus tard. Il se met alors, pour comprendre, à écrire leur histoire, et son histoire à lui, dont il dit "Comment pourrait ce être un réconfort, que mon amour pour Hanna soit en quelque sorte le destin de ma génération (...) que j'aurais moins bien su camoufler que les autres ?"

Miss Islande et Rosa Candida de Audur Ava Olafsdottir.


Islande, 1963. Hekla, vingt et un ans, quitte la ferme de ses parents et prend le car pour Reykjavík. Il est temps d'accomplir son destin : elle sera écrivain. Sauf qu'à la capitale, on la verrait plutôt briguer le titre de Miss Islande. Avec son prénom de volcan, Hekla bouillonne d'énergie créatrice, entraînant avec elle Ísey, l'amie d'enfance qui s'évade par les mots – ceux qu'on dit et ceux qu'on ne dit pas –, et son cher Jón John, qui rêve de stylisme entre deux campagnes de pêche… Miss Islande est le roman, féministe et insolent, de ces pionniers qui ne tiennent pas dans les cases.
Un magnifique roman sur la liberté, la création et l'accomplissement.



Le jeune Arnljótur va quitter la maison, son frère jumeau autiste, son vieux père octogénaire, et les paysages crépusculaires de laves couvertes de lichens. Sa mère a eu un accident de voiture. Mourante dans le tas de ferraille, elle a trouvé la force de téléphoner aux siens et de donner quelques tranquilles recommandations à son fils qui aura écouté sans s’en rendre compte les dernières paroles d’une mère adorée. Un lien les unissait : le jardin et la serre où elle cultivait une variété rare de Rosa candida à huit pétales. C’est là qu’Arnljótur aura aimé Anna, une amie d’un ami, un petit bout de nuit, et l’aura mise innocemment enceinte. En route pour une ancienne roseraie du continent, avec dans ses bagages deux ou trois boutures de Rosa candida, Arnljótur part sans le savoir à la rencontre d’Anna et de sa petite fille, là-bas, dans un autre éden, oublié du monde et gardé par un moine cinéphile.


Enfin pour ma part je leur ai parle du roman que je lis c'est La malédiction de Reggio de Rosalie Lowie aux éditions les Nouveaux Auteurs.



Une nouvelle enquête de Marcus Kubiak mêlant vendetta et révélations entre la Côte d'Opale et la Calabre italienne...La vengeance est aveugle, dit-on...


En 1970 , alors que de violents conflits sociaux agitent l'Italie du Sud, Nullo Strongoli, un entrepreneur despotique et brutal de Reggio en Calabre, voit ses locaux incendiés. Il lance une malédiction contre les coupables, les frères Rossano qui, craignant pour leur vie, s'évanouissent dans la nature...

En 2022, à Wimereux, sur la Côte d'Opale, le sympathique...


 

Je leur ai demandé si elles aimeraient faire une lecture commune alors nous avons choisi le dernier roman de Claire Berest l'épaisseur d'un cheveu.

 L'autrice sera de passage à Metz le Mardi 21 Novembre 17h30 à la librairie Hisler pour une rencontre et dédicace en compagnie d' Emilie Freche pour son roman Les amants du Lutetia. 


Librairie Hisler 1 rue Ambroise Thomas 57000 Metz 
Librairie Hisler



Notre prochain Club littéraire au café Rubis se déroulera le 01 Décembre 2023 de 16h à 18h. 

Il se déroulera une fois par mois et toujours au même endroit. 

Un moment festif et livresque qui donne du bonheur aux passionnés de lecture.

Le fait de sortir du quotidien fait du bien a tout le monde , et le club de lecture ne fait pas d'exception. 


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