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| French pulp éditions |
4° de couverture
Quand Requiem, le plus déjanté des curés, agent secret du Vatican décide de prendre la défense des animaux, et il se retrouve confronté aux Yakuzas, ça donne un polar sans temps mort, avec des répliques toujours aussi ciselées.
Une fois de plus, Petrovsky nous ouvre les yeux sur un problème de société avec humour.
Mon ressenti
Voilà pour mon dernier livre lu en 2019, je me suis régalée avec Requiem, notre curé hors du commun.
Contente de le retrouver dans de nouvelles aventures avec sa coach sportive Cécile, ils vont devoir affronter des gens très pourris. Toujours aussi obsédé par le gente féminine, ses dérapages incontrôlés, son manque de tact et de finesse me font beaucoup rire.
Suite à sa rencontre avec Nadine, une personne très riche, ils vont partir en Afrique pour retrouver Élodie sa petite fille et faire la chasse aux braconniers.
A chaque chapitre, j'ai rigolé comme une loutre, « espèce aussi en danger à cause de certains cons qui s'amusent à les prendre en tant qu'animal de compagnie pour poster des photos sur les réseaux sociaux. »
«Certains comptes sur Instagram et Facebook drainent des centaines de milliers de followers, qui postent à leur tour des commentaires attendris sur les photos de loutres naines, tels que "trop mignonne" ou "j'en veux une". On reconnaît que ce sont des "créatures très charismatiques", tout en déplorant que "ce soit justement leur côté mignon qui cause leur perte".Les selfies masquent les souffrances endurées par ce petit mammifère qui vit en communauté dans la nature et que l'on place brusquement en captivité et à l'isolement.
Les nombreux "vidéos gags" montrant des loutres tournant sur elles-mêmes, ce qui, pour un œil averti, est la manifestation d'une "énorme souffrance".»
Voilà la connerie humaine n'a aucune limite, c'est le problème actuel et ça va être très dur de faire évoluer ce genre de personnes aux QI d’huîtres, car apparemment les perturbateurs endocriniens rendent les gens beaucoup plus cons.
Ce roman m'a permis de bien décompresser pendant les fêtes, d'en apprendre plus sur les animaux mais aussi d'aller à la rencontre du Capitaine Watson, un personnage que j'admire beaucoup. Merci à l'auteur pour son imagination et son humour que j'adore, les petits clins d’œil à Nadine Monfils dont je suis fan également.
Si seulement les hommes pouvaient avoir une bonne conscience et arrêter de massacrer ces animaux qui demandent juste le droit de vivre en paix dans leur environnement qui n'est pas la propriété de l'homme.
Hélas dans notre monde il n'y a plus beaucoup de place pour eux.
Mon curé préféré va devoir faire
face à la cruauté des hommes qui pour le fric vont massacrer des
lions, des éléphants, des tigres et d'autres animaux en voie
d'extinction comme les baleines par exemple . Un sujet qui me met
hors de moi et c'est pour ça que j'ai pris beaucoup de plaisir quand
la justice divine fait son boulot. Il y a de l'action, beaucoup
d'humour et des baffes à gogo. C'est ça qui est bon, de plus j'ai
fait le voyage en bateau avec eux afin de retrouver un baleinier
japonnais et de les voir mettre un terme à leurs agissements
barbares.
Voilà j'espère que cet article vous
donneras envie de lire ce roman, je vous souhaite à tous une très
bonne année 2020, une très bonne santé et prenez soin de vous, de
vos proches et pensez aux animaux.
https://stanislaspetrosky.com/
Auteur
Stanislas Petrovsky, de son vrai nom Sébastien Mousse, est un écrivain qui vit en Normandie.
C’est après une première vie de thanatopracteur qu'il rentre en écriture.
Après quelles nouvelles, il se lance dans l’écriture d’un roman noir historique "Ravensbrück mon amour" (2015) et reçoit le Grand prix des Blogueurs 2016 qui sera suivi par une romance noire sur la dépression "L’amante d’Etretat" (2016).
En 2016, il publie "Je m’appelle Requiem et je t’…", puis la suite, "Dieu pardonne, lui pas !", aux éditions LaJouanie, en 2017.
Aujourd’hui avec son personnage de Requiem, prêtre exorciste déjanté, il égale les grands auteurs du noir burlesque avec un style mêlant humour et polar.
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