![]() |
https://www.facebook.com/lebabmetz/?locale=fr_FR |
"Nous étions bien plus nombreux pour ce deuxième café littéraire de l'année, et je suis ravie, car cela a apporté une belle ambiance.
Les participants semblaient vraiment enthousiastes à l'idée de partager leurs avis, même si cela a coïncidé avec l'intervention d'une personne qui parlait de ses lectures.
Nous étions neuf au total, dont trois nouveaux venus : Bernard, Adrien et Francis, qui nous a rejoints à 18h00.
Amara, Cécile, Brigitte, Ginette, Véronique et moi-même, Sabine étions fidèle au rendez-vous. J'ai même failli oublier de parler de mes lectures.
"J'ai donné la parole à Adrien, qui nous a parlé d'un recueil de lettres intitulé "Paroles de poilus". Ce sont des lettres envoyées du front, qui ont été publiées grâce à leurs descendants. De nombreux soldats, principalement dans l'Est de la France, ont perdu la vie, mais grâce à ces écrits, nous pouvons aujourd'hui lire leurs derniers mots."
C'est une lecture émouvante et dure qui se termine par un texte de Pétain et aussi le moyen de retrouver les traces de nos ancêtres qui ont vécu l'horreur.
Un livre qui rend hommage à ces hommes qui on donné leurs vies pour notre Pays.
Ils avaient dix-sept ou vingt-cinq ans. Se prénommaient Gaston, Louis René. Ils étaient palefreniers, boulangers, colporteurs, bourgeois ou ouvriers. Ils devinrent soudainement artilleurs, fantassins, brancardiers... Voyageurs sans bagage, ils durent quitter leurs femmes et leurs enfants et revêtir l'uniforme mal coupé, chausser les godillots cloutés... Sur huit millions de mobilisés entre 1914 et 1918, plus de deux millions de jeunes hommes ne revirent jamais le clocher de leur village natal. Plus de quatre millions, subirent de graves blessures. Huit mille personnes ont répondu à l'appel de Radio France visant à collecter les lettres, jusqu'ici éparpillées, de ces Poilus. Cet ouvrage en présente une centaine. Des mots écrits dans la boue et qui n'ont pas vieilli d'un jour. Des mots déchirants, qui devraient inciter les générations futures au devoir de mémoire, au devoir de vigilance, comme au devoir d'humanité.
Je continue ce compte rendu avec les lectures de Cécile. "Elle a lu Veiller sur elle de Jean-Baptiste Andréa, un livre dont nous avions déjà parlé précédemment, lorsque Véronique l'a lu et nous en a parlé avec tant de passion."
https://www.albin-michel.fr/le-fait-du-prince-9782226188441 « Il y a un instant, entre la quinzième et la seizième gorgée de champagne, où tout homme est un aristocrate. »Amélie Nothomb. "Cécile est actuellement plongée dans la lecture de La Fille du fleuve de Jim Harrison, et elle nous en parlera lors de notre prochaine rencontre."
Dans ce texte âpre, "Big Jim" nous emmène dans un Montana aussi beau qu'hostile et livre un portrait féminin subtil, non sans échos avec son majestueux Dalva : celui d'une jeune fille meurtrie, aussi blessée qu'en quête de vengeance... "Sarah cria : "Putain de Dieu !", puis elle s'élança à toute vitesse sur un sentier pentu qui grimpait le long de la montagne jusqu'à ce qu'elle soit certaine que sa blessure allait éclater et qu'elle en aurait fini avec elle" "Maintenant, c'est au tour de Véronique, qui a lu de nombreux romans, ce qui me pousse à travailler avec enthousiasme sur le bilan de mon événement, un processus qui m'anime et me remplit de joie." Je vous glisse sa liste ci-dessous: Elle a lu Reykjavik de Ragnar Jónasson et Katrín Jakobsdóttir. "Un thriller nordique écrit à quatre mains, captivant et riche en suspense." Partageant la même passion pour la littérature et les énigmes, Ragnar Jónasson et Katrín Jakobsdóttir nous livrent ensemble ce roman policier magistral ! En 1956, sur une petite île au large de Reykjavík, une jeune fille de 15 ans disparaissait sans laisser de trace. Trente ans plus tard, ce mystère est toujours la plus grande affaire non résolue d’Islande. Valur, un jeune journaliste va décider d’enquêter en remontant aux sources de cette mystérieuse affaire. Au risque d’ouvrir une boîte de Pandore fermée il y a trop longtemps... « Jónasson et Jakobsdóttir, l’association d’auteurs la plus volcanique du polar nordique. » Le Point Né à Reykjavík, Ragnar Jónasson est l’un des auteurs de polars islandais les plus reconnus aujourd’hui, avec 5 millions d’exemplaires vendus dans le monde. Il est l’auteur de la trilogie « La Dame de Reykjavík » et de la série des « Enquêtes de Siglufjördur ». Tous ses romans, traduits en 36 langues, sont disponibles chez Points. Traduit de l’islandais par Jean-Christophe Salaün. Les hommes manquent de courage de Mathieu Palain. éditions l'Iconoclaste. La vie de Jessie lui échappe. Elle n'y arrive plus avec Marco, son fils de 15 ans. Chaque discussion dérape : des cris, des fugues. Marco a disparu depuis trois jours quand, un soir, il l'appelle. Il est à une fête. Il faut que sa mère vienne. Tout de suite. La où chantent les écrevissent de Delia Owens. Traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Marc Amfreville Pendant des années, les rumeurs les plus folles ont couru sur « la Fille des marais » de Barkley Cove, une petite ville de Caroline du Nord. Pourtant, Kya n’est pas cette fille sauvage et analphabète que tous imaginent et craignent. A l’âge de dix ans, abandonnée par sa famille, elle doit apprendre à survivre seule dans le marais, devenu pour elle un refuge naturel et une protection. Sa rencontre avec Tate, un jeune homme doux et cultivé qui lui apprend à lire et à écrire, lui fait découvrir la science et la poésie, transforme la jeune fille à jamais. Mais Tate, appelé par ses études, l’abandonne à son tour. La solitude devient si pesante que Kya ne se méfie pas assez de celui qui va bientôt croiser son chemin et lui promettre une autre vie. Lorsque l’irréparable se produit, elle ne peut plus compter que sur elle-même… Delia Owens est née en 1949 en Géorgie, aux Etats-Unis. Diplômée en zoologie et biologie, elle a vécu plus de vingt ans en Afrique et a publié trois ouvrages consacrés à la nature et aux animaux, tous best-sellers aux USA. Là où chantent les écrevisses est son premier roman. Phénomène d’édition, ce livre a déjà conquis des millions de lecteurs et poursuit son incroyable destinée dans le monde entier. Une adaptation au cinéma est également en cours. « Un roman à la beauté tragique. » The New York Times Book Review « Une histoire déchirante, un hymne sublime à la nature et à la solitude. » Entertainment Weekly « Un premier roman magnifique. » People Le cheptel de Céline Denjean. Un adolescent surdoué tombe dans un torrent. Blessé, il est secouru par une étrange communauté auto vivrière dont la survie repose sur la peur de l'extérieur... Un vieux notaire résolu à percer le secret de sa naissance.
L'ombre du funambule de Stéphane Schmucker. éditions les nouveaux auteurs. Un thriller psychologique intense dans lequel drames, espoirs et secrets se télescopent.
Joachim est un père dévasté depuis la disparition de sa fille Romane huit ans plus tôt et n'est plus que l'ombre de lui-même. Son quotidien bascule brusquement lorsque le lieutenant Breuil frappe à sa porte pour lui annoncer que son ex-femme est suspectée du meurtre de son amour de jeunesse, Liliane. Il n'a d'autre choix que de revenir en Alsace pour enquêter sur les lieux de son passé et se replonger dans des souvenirs douloureux. Est-il prêt à entendre la vérité sur la disparition de sa fille ? Les larmes noires des cigognes de Stéphane Schmucker. Comment réagiriez vous si on enlevait votre fille ? Un thriller psychologique captivant qui mêle enquête et histoire personnelle d'un capitaine de police...
Ce genre de petite choses de Claire Keegan. En cette fin de 1985, Bill Furlong, le marchand de bois et charbon, a fort à faire. Parmi ses commandes, une livraison pour le couvent voisin. Le bruit court que les sœurs y exploitent à des travaux de blanchisserie des filles non mariées et qu’elles gagnent de l’argent en plaçant à l’étranger leurs enfants illégitimes. L’épouse de Bill, Eileen, est d’avis que de telles choses ne les concernent pas. Claire Keegan, avec une intensité et une finesse qui donnent tout son prix à la limpide beauté de ce récit, dessine le portrait d’un héros ordinaire, un de ces êtres par nature conduits à prodiguer les bienfaits qu’ils ont reçus. Un récit splendide, cristallin. Le Monde des livres. Traduit de l’anglais (Irlande) par Jacqueline Odin. Rien n'est plus comme avant : le monde tel qu'on le connaît semble avoir vacillé, plus d'électricité ni d'essence, les trains et les avions ne circulent plus. Des rumeurs courent, les gens fuient. Nell et Eva, dix-sept et dix-huit ans, vivent depuis toujours dans leur maison familiale, au cœur de la forêt. Quand la civilisation s'effondre et que leurs parents disparaissent, elles demeurent seules, bien décidées à survivre. Il leur reste, toujours vivantes, leurs passions de la danse et de la lecture, mais face à l'inconnu, il va falloir apprendre à grandir autrement, à se battre et à faire confiance à la forêt qui les entoure, emplie d'inépuisables richesses. Considéré comme un véritable choc littéraire aux États-Unis, ce roman sensuel et puissant met en scène deux jeunes femmes qui entraînent le lecteur vers une vie nouvelle. Quand une mendiante muette de Maracaibo, au Venezuela, recueille un nouveau-né sur les marches d’une église, elle ne se doute pas du destin hors du commun qui attend l’orphelin. Élevé dans la misère, Antonio sera tour à tour vendeur de cigarettes, porteur sur les quais, domestique dans une maison close avant de devenir, grâce à son énergie bouillonnante, un des plus illustres chirurgiens de son pays. Une compagne d’exception l’inspirera. Ana Maria se distinguera comme la première femme médecin de la région. Ils donneront naissance à une fille qu’ils baptiseront du nom de leur propre nation : Venezuela. Liée par son prénom autant que par ses origines à l’Amérique du Sud, elle n’a d’yeux que pour Paris. Mais on ne quitte jamais vraiment les siens. C’est dans le carnet de Cristobal, dernier maillon de la descendance, que les mille histoires de cette étonnante lignée pourront, enfin, s’ancrer. Dans cette saga vibrante aux personnages inoubliables, Miguel Bonnefoy campe dans un style flamboyant le tableau, inspiré de ses ancêtres, d’une extraordinaire famille dont la destinée s’entrelace à celle du Venezuela. Norvège, 1617. Il a suffi d'une nuit, une nuit de tempête et d'horreur. Depuis que la mer a rendu, cadavre après cadavre, tous les hommes de Vardø, les femmes du village ont pris les choses en main. La pêche. Les travaux domestiques. Mais il était dit, même aux confins du cercle polaire, qu'on ne laisserait jamais les femmes en paix. En vertu du Décret sur la sorcellerie, fraîchement entré en vigueur, il est venu du continent un pasteur étranger : Absalom Cornet, inquisiteur fanatique et chasseur de sorcières. Pour Maren, Kirsten, Ursa et les autres, toutes prisonnières chacune à sa manière, le bûcher est déjà dressé... "Je vous souhaite d’être follement aimée", écrivait André Breton. Dans ce recueil de poèmes qui constituent autant de microfictions incandescentes, publiées au fil des années sur Instagram, Nicolas Mathieu dessine les visages de cet amour fou et donne à voir un monde de coïncidences, d’analogies et de banalités transformées en trésors : les villes entrevues, la mer, les rencontres et les commencements, le désespoir et les joies, le bonheur intenable, les saisons, les matins au lit et les dîners avortés, les gueules de bois, l’attente, la désertion, l’enfance et la fin qui viendra. Chaque page raconte nos détresses et nos émerveillements, l’épreuve des corps, l’amour pour un père, une femme, un enfant : les fragments de ce monde qui résiste encore à l'absence et à l'oubli. Prix Goncourt 2024. Découvrez un extrait de ce " bijou de roman " selon Tatiana de Rosnay, une boulangerie allemande prise dans les tourments de l'histoire, une famille déchirée par les horreurs de la guerre, l'innocence confrontée à un choix terrible... Bouleversant d'émotion, un roman porteur d'une magnifique leçon de vie et de tolérance. Découvrez un extrait de ce " bijou de roman " selon Tatiana de Rosnay, une boulangerie allemande prise dans les tourments de l'histoire, une famille déchirée par les horreurs de la guerre, l'innocence confrontée à un choix terrible... Bouleversant d'émotion, un roman porteur d'une magnifique leçon de vie et de tolérance. Garmisch, 1944. Elsie Schmidt, seize ans, traverse la guerre à l'abri dans la boulangerie de ses parents et sous la protection d'un officier nazi qui la courtise. Mais, quand un petit garçon juif frappe à sa porte, la suppliant de le cacher, la jeune fille doit choisir son camp... Soixante ans plus tard, au Texas, près de la frontière mexicaine, la journaliste Reba Adams réalise un reportage sur la boulangerie tenue par Elsie. Peu à peu, elle comprend que la vieille dame a beaucoup plus à révéler qu'elle ne veut bien le dire. Comment la jeune Allemande est-elle arrivée au Texas ? Quels drames elle et les siens ont-ils traversés ? Qui a pu être sauvé ? Véronique est en train de lire Amélie Nothomb premier sang, elle nous en parlera la prochaine fois. Prix Renaudot 2021 Palmarès 2021 Les 100 livres de l'année du magazine Lire « Il ne faut pas sous-estimer la rage de survivre. » Amélie Nothomb Amélie Nothomb est au meilleur d'elle même : cruelle, tendre, drôle. Télérama Un livre qu'aucun lecteur d'Amélie Nothomb n'a jamais lu. Le livre que tous les lecteurs d'Amélie Nothomb attendaient. Le livre clé. François Busnel - La Grande Librairie C’est éblouissant. Frédéric Beigbeder, Le masque et la plume. Un livre fascinant. Olivia de Lamberterie, Le masque et la plume. Amélie Nothomb est née à Kobé en 1967. Dès son premier roman Hygiène de l’assassin paru en 1992, elle s’est imposée comme une écrivaine singulière. En 1999, elle obtient avec Stupeur et tremblements le Grand Prix de l’Académie française. Premier sang est son 30e roman. Coup de cœur - Les 10 meilleurs livres de 2021 - Le Parisien Ensuite j'ai failli oublié de parler de mes lectures. "J'ai terminé La couleur des mots de Tahar Ben Jelloun et j'ai adoré ce roman qui explore un parcours de vie vibrant de couleurs, de peintures et d'art, où la littérature trouve sa place pour nous narrer de belles histoires." C'est Amara qui m'a donné envie de le découvrir en plus il y a des belles illustrations à la fin du roman avec les peintures de l'artiste. Aux sources de la création de Tahar Ben Jelloun.
Entre deux cultures, entre deux rives, entre deux disciplines, Tahar Ben Jelloun s'est construit au fil des rencontres. fois aux sources de sa création. Là où, entre ombre et lumière, se tissent la douleur et la beauté du monde.
"J'ai lu Pensées pour SOI de Marc Aurèle, une réflexion profonde sur la vie et la philosophie stoïque."
Ce texte composé de douze livres (chapitres) fut essentiellement écrit lors de campagnes militaires, ce livre est un classique de la philosophie stoïcienne avec ses conseils pour rester serein et impassible face aux évènements de la vie. "Ensuite, j'ai lu L'Art du bonheur de Sa Sainteté le Dalaï Lama et Howard Cutler, une œuvre éclairante sur la quête du bien-être intérieur." Un roman que j'avais acheté le 02 juillet 2012 et seulement lu maintenant.
"Ensuite, j'ai lu le roman Le Pouvoir du moment présent d'Eckhart Tolle, un ouvrage que j'avais acheté en 2014."
Eckhart Tolle nous enseigne qu'il est possible de vivre sans souffrance, sans anxiété et sans névrose. Mais pour atteindre cet état d'éveil nous devons arriver à comprendre que nous sommes nous-mêmes les créateurs de notre propre souffrance. Que notre mental, et non pas les autres et notre monde environnant, est à l'origine de nos problèmes. C'est notre mental, avec son flot presque continu de pensées, qui se soucie du passé et s'inquiète de l'avenir qu'il faut apprendre à maîtriser. "Virginie Krahn m'a envoyé son ouvrage, que je viens de terminer. Mon ressenti arrive bientôt, mais je tiens à la remercier, car j'ai beaucoup aimé cette histoire poignante."
|
Virginie Krahn a une affection particulière pour les mots. Poussée par une imagination fertile, elle présente, avec Lola - Non-désir quand tu nous tiens, une œuvre poignante sur le non-désir de maternité.
"J'ai lu grâce à Masse Critique Le Journal d'Angie d'Éric Bohème, un roman qui m'a profondément émue. J'ai adoré cette lecture."
Angie est une jeune ivoirienne abandonnée par sa génitrice, alors qu’elle n’était qu’un bébé. Grâce au journal qu’elle a tenu depuis son plus jeune âge, le lecteur va découvrir toute son existence, qui commence dans le dénuement le plus total.
Grâce à son courage et à la volonté de retrouver sa mère, elle va surmonter toutes les embûches placées sur son chemin : misère, drogue, délinquance, prostitution…
Se méfiant des hommes – et en particulier des Blancs – mais sachant les manipuler quand cela s’avère nécessaire, cette jolie fille va devoir affronter la dureté de la vie à Abidjan avant que les hasards de la vie et des rencontres la fassent atterrir au Mali, en Suisse puis en France.
C’est Racine, ou plus exactement sa pièce de théâtre « Iphigénie », qui va donner un cours surprenant à l’existence de cette jeune femme volontaire, voire téméraire.
Ce roman émouvant et parfois poignant s’efforce de traduire, au plus cru de la réalité, la résilience nécessaire pour survivre dans une Afrique vécue et restituée par un œil autochtone.
"Un roman d'horreur classique que j'ai récemment découvert et qui m'a fait frissonner est La Maison au bord du monde de William Hope Hodgson, un écrivain anglais renommé pour ses nouvelles et ses romans fantastiques."
Un roman fantastique s'épanouissant dans un décor irlandais
"Rares sont les écrivains qui peuvent égaler Hodgson lorsqu’il ébauche le dessein des forces sans nom et de monstrueuses entités toutes proches, au moyen d’allusions fortuites et de détails sans importance, ou bien lorsqu’il communique le sentiment du surnaturel et de l’anormal qui pèse sur un paysage ou une demeure. C’est l’histoire d’une maison abandonnée et maudite en Irlande, qui est le point de concentration de hideuses forces souterraines et qui soutient le siège lancé par des monstres hybrides et blasphémateurs, issus d’abîmes insoupçonnables. L’esprit du narrateur qui voyage pendant d’interminables années-lumière à travers l’espace cosmique et les "Kalkpas" éternelles, assistant finalement à la désintégration du système solaire, constitue quelque chose d’assez unique dans la littérature. Partout se manifeste le don de l’auteur à suggérer des objets de terreur imprécis et embusqués dans un décor normal. "
La Maison au bord du Monde est sans doute le chef-d’œuvre de Hodgson.
"Je suis en train de lire Game Over d'Isabelle Villain, aux éditions Taurnada, et j'accroche vraiment bien jusqu'à présent. L'action et le suspense sont au rendez-vous !"
Une vieille dame meurt écrasée sous les roues d'un bus. Un nouveau fait divers dans les rues de Paris.
Cependant, d'autres « accidents » sont rapidement à déplorer, laissant présager que ces tragiques événements ne sont que les prémices d'un sombre dessein.
Le groupe de Lost se retrouve à la tête d'une affaire qui va bousculer toutes ses certitudes.
Frustration. Colère. Incompréhension. Impuissance...
Une course contre la montre au dénouement glaçant et inacceptable.
"Avant de clôturer l'événement, Adrien m'a conseillé la lecture de "Le Manuel d'Épictète", que j'ai lu dès le lendemain matin."
Stoïcien, Epictète invite à pratiquer la philosophie comme une gymnastique, un moyen d'agir sur soi-même plus qu'une somme de connaissances.
"Je vous remercie pour votre patience, et ainsi se termine ce compte rendu plutôt détaillé.
Rendez-vous pour la prochaine rencontre au BAB le 1er mars à 16h00, dans la petite salle à l'étage.
Un grand merci à tous, avec un peu d'amour et des cœurs pour clore ce moment ! ❤️💖💝"
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire