Bonjour à tous les lecteurs et lectrices qui suivent ce blog qui me tient particulièrement à cœur.
Nous avons commencé cette rencontre en parlant de la nouvelle lecture de Deborah qui commence La conjuration des imbéciles de John Kennedy Toole que j'ai lu le mois dernier, c'est un roman humoristique américain qui est très divertissant, j'étais souvent pliée de rire.
Ensuite j'ai présenté ma dernière lecture que j'ai reçu en service presse par les éditions Taurnada, L'ombre du prédateur de Gérard Saryan.
https://www.taurnada.fr/catalogue/thriller/lodpgs/
C'est un thriller vraiment prenant qui m'a énormément plu. Mon article est publié mais je vous retranscris mon ressenti ci-dessous.
Mon ressenti
Actuellement je lis la biographie de Jean-Luc Van Damme qui a été écrite par Manuel Verlange le titre est Banana Split aux éditions Academia.
Je remercie l'auteur de me l'avoir envoyé en service de presse. C'est une histoire qui me plait bien car on y rencontre diverses personnalités du monde de la musique des années 80.
Jean-Luc Van Damme est à la tête de sa société de production banana films et en collaboration avec d'autres sociétés et du réalisateur et scénariste Bille August le film "Goodbye Bafana avec Diane Kruger, Joseph Fiennes et Denis Haysbert en 2007."
Goodbye Bafana est
avant tout le projet d'un homme, Jean-Luc Van Damme,
publicitaire bruxellois ayant décidé de se
reconvertir en producteur de films via sa société Banana Films. Le film n'est pas à l'abri d'anachronismes ou de
simplifications historiques : ·
Ainsi, durant une période située entre 1968 et 1976,
le portrait officiel situé dans le bureau du chef de la prison de Robben Island est celui de Pieter Botha, président de la République sud-africaine (1984-1989).
Le portrait aurait dû être celui de Jacobus Johannes Fouché,
président contemporain de cette époque ou du ministre des Prisons, pas celui de
Botha à l'époque ministre de la Défense. ·
Tout au long de la période 1968-1990, Pieter Jordaan,
le major des services secrets, arbore constamment au revers de son veston une
épinglette représentant le drapeau
sud-africain. Dans les faits, ce genre d'insigne n'était pas utilisé
par les officiels sud-africains et encore moins par les membres des services
secrets. Ce genre d'épinglette semble être inspiré plutôt de celles que l'on
trouve au revers des complets des présidents américains depuis le 11 septembre 2001. A
contrario, il est aussi à noter dans le film la relative discrétion ou
absence des drapeaux sud-africains devant les édifices publics par rapport à la
réalité de l'époque. ·
La rencontre entre Nelson Mandela et Frederik de Klerk en 1990 à
la résidence présidentielle de Groote Schuur est présentée comme la première rencontre
entre le représentant de l'ANC et un chef d'État sud-africain. Il n'est
nullement mentionné la rencontre en 1989 avec
le président Pieter Botha ni les
entretiens avec le ministre Kobie Coetsee, plus fréquents que ceux avec Jimmy Kruger (montré dans le film).
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La femme, un produit sans grand avenir ?
2224. Depuis le Grand Effondrement de la civilisation fossile et les crises qui ont suivi, l'humanité s'est adaptée. Économiser les ressources, se protéger du soleil, modifier son habitat, ses besoins, et adhérer au tout recyclage.
Y compris celui des femmes.
Afin d'enrayer le déclin de la population, toute femme de cinquante ans est retirée de son foyer pour laisser la place à une autre, plus jeune et encore fertile.
L'heure a sonné pour Rachel. Solide et sereine, elle est prête. Mais qu'en est-il de son mari et de ses enfants ? Car personne n'est jamais revenu du Grand Recyclage. Et Rachel sent bien que le Domaine des Hautes Plaines n'est pas ce lieu de rêve que promet la Gouvernance territoriale aux futures Retirées...
Sophie Loubière est une romancière, journaliste et productrice de radio française. De son métier de journaliste presse et radio, elle a conservé la rigueur, la curiosité, la nécessité de transmettre, d’explorer les angles morts. Elle est l’auteur d’une dizaine de romans, de recueils de nouvelles et de nombreuses fictions audio. Depuis son premier ouvrage publié en 1999, elle explore les méandres du cœur humain sous le prisme de faits réels, se jouant des codes du roman noir, du fantastique ou de l’autofiction. En 2011, le succès de "L’Enfant aux cailloux", plusieurs fois primé, lui vaut une reconnaissance internationale. Succès confirmé en 2020 avec "Cinq Cartes brûlées", récompensé par trois prix littéraires dont le Prix Landerneau polar. Son roman "De cendres et de Larmes", paru chez Fleuve Noir (Pocket, 2022) aborde un de ses thèmes de prédilection : la culpabilité du survivant. La plupart de ses ouvrages sont également disponibles en livre audio, et enregistrés par l’autrice.
Ils sont plus de cinquante à former ce casting hors normes. En immersion dans la vie de ces criminels sériels, nous découvrons leurs scènes de crime, les enquêtes difficiles et souvent laborieuses, les prétoires où ils furent jugés et condamnés, et les bois de justice, où bon nombre d'entre eux furent exécutés.
Le juge Thiel, avec son style saillant, sa grande culture judiciaire et historique - c'est en particulier à lui qu'on doit l'arrestation de Guy Georges -, et une bonne dose d'humour distancié, campe décors et acteurs de ces histoires vraies, sans rien omettre.
Gilbert Thiel, né le 11 octobre 1948 à Metz, est un magistrat français.
Maîtrise en droit (appelée licence en 1972).
Ancien élève de l’École nationale des impôts (1973-1974).
Ancien élève de l’École nationale de la magistrature (1976-1978).
Juge d'instruction à Nancy en 1978.
Premier juge d'instruction à Nancy en 1986.
Substitut général à la cour d'appel de Metz en 1990.
Premier juge d'instruction au tribunal de grande instance de Paris en 1994, affecté à la section antiterroriste en 1995.
Quatre scènes de crime. Sept victimes. Une seule arme : la foudre. Après une nuit d'orage, alors que la saison touristique commence à peine, des corps sont découverts sur l'île d'Oléron et ses alentours, attachés à des pieux métalliques plantés dans le sable face à l'océan, foudroyés. Sept dépouilles au total. Et des modes opératoires très proches. Le capitaine Max Fontaine, en poste à la PJ de La Rochelle, va aussitôt être chargé de l'affaire. Sa priorité : trouver le lien qui unit les victimes pour espérer remonter jusqu'à leur assassin. Il ne se doute cependant pas de la douloureuse épreuve personnelle qu'il s'apprête à traverser, ni de la solitude, de l'impuissance et de la rage qui vont l'habiter durant cette enquête. Car de nombreux obstacles se dresseront sur sa route avant de pouvoir accéder à la vérité. Sonja Delzongle est une femme de lettres française, auteure de roman policier. Dana Skoll est son pseudonyme pour la littérature jeunesse et fantasy. Née d'un père français et d'une mère serbe, elle a grandi entre Dijon et la Serbie. Elle a mené une vie de bohème, entre emplois divers (les plus marquants ayant été le commerce artisanal africain asiatique et la tenue d’un bar de nuit) et écriture. Après un DEUG en Langues et Lettres Modernes, elle s’attaque au concours de l’École des Beaux-Arts de Dijon et obtient un diplôme au bout de six ans. Elle peint et expose durant une quinzaine d’années, puis devient journaliste en presse écrite à Lyon. Après l’écriture d’une nouvelle devenue depuis un roman court, "La journée d’un sniper" (2007), elle publie un premier thriller "À titre posthume" (2009), puis "Le Hameau des Purs", en 2011. C’est en 2011 qu’elle commence l’écriture de "Dust". Sa passion pour l’Afrique, qui remonte à sa petite enfance, l’a amenée à y faire de multiples séjours. Son roman parait en 2015 chez Denoël et connait un succès éditorial et public. La même année, elle obtient le Prix Anguille sous Roche. En 2016, parait "Quand la neige danse", toujours chez Denoël, qui met également en scène la profileuse Hanah Baxter et dont l’action se passe non plus au Kenya mais dans le froid nord-américain. "Récidive" paru en 2017 nous offre une troisième enquête. Après une épopée arctique dans "Boréal" (2018), elle revient cette fois dans les montagnes des Balkans, ses racines, avec "Cataractes" (2019). Sonja Delzongle habite Lyon depuis 2001. son blog : http://sonia-blogart.blogspot.fr/ page Facebook : https://www.facebook.com/Sonja-Delzongle-1403988013229391/ |
Ilaria Tuti est une auteure de romans policiers italienne. Passionnée de photographie et de peinture, elle a étudié l'économie et a travaillé comme illustratrice. En 2014, elle a été lauréat du premio Gran Giallo Città di Cattolica pour son ouvrage "La bambina pagana". Véritable phénomène dans son pays, "Sur le toit de l'enfer" ("Fiori sopra l’inferno", 2018), est le premier volet d'une série autour de commissaire de police Teresa Battaglia. Un roman qui lui a valu d'être surnommée par la presse italienne la "Donato Carrisi au féminin". "La ragazza dagli occhi di carta", paru en 2015, en format numérique uniquement, finaliste pour le Premio Grado Giallo 2015, mettait déjà en scène le personnage principal de Teresa Battaglia. Twitter : https://twitter.com/ilaria_tuti?lang=fr |
Véronique nous a parlé du roman de Gaelle Josse "à quoi songent-ils, eux que le sommeil fuit ? aux éditions Notabilia.
Quelques éclats demeurent au milieu des heures profondes, en veille. Parfois une silhouette immobile se détache sur le rectangle éclairé. A quoi songent-ils, tous ceux que le sommeil fuit ? A quelle part de leur histoire, de leur mémoire, à quels absents parlent-ils en silence ? C'est l'heure des aveux, des regrets, des impatiences, des souvenirs, de l'attente. Ce sont les heures où le cœur tremble, où les corps se souviennent, peau à peau avec la nuit. On ne triche plus. Ce sont les heures sentinelles de nos histoires, de nos petites victoires, de nos défaites. Que racontent ces silhouettes silencieuses à la grande nuit bleue ? On rencontrera ici des femmes, des hommes, des couples, des enfants, portraits intenses de vies ordinaires, tous reflets de notre humanité et de nos vacillements. A travers ces microfictions, Gaëlle Josse poursuit cette écoute ultrasensible de nos vies qu'elle nous offre de livre en livre, au plus près des émotions qui les traversent. Gaëlle Josse est une femme de lettres française. Après des études de droit, de journalisme, de psychologie et quelques années passées en Nouvelle-Calédonie, elle travaille pour un site Internet à Paris et vit en région parisienne. Elle organise aussi des ateliers d'écoute musicale et d'écriture, pour adultes et adolescents. Venue à la littérature par la poésie, son premier roman, "Les heures silencieuses", paru en janvier 2010 aux Éditions Autrement, a obtenu plusieurs prix notamment le Prix Lavinal, Prix Peindre en Provence, Prix du Marais, et a été finaliste du Prix Orange 2011. Suivront "Nos vies désaccordées" (2012), qui obtient le Prix Alain-Fournier 2013 et le Prix national de l'Audiolecture 2013 et" Noces de neige" en 2013. En 2015, elle est finaliste du Prix des libraires et lauréate du Prix de littérature de l'Union Européenne, du Prix de l'Académie de Bretagne et de nombreux prix de médiathèques pour son roman "Le dernier gardien d'Ellis Island" (Noir sur Blanc). En 2016, elle publie "L'ombre de nos nuits" et est marraine du prix littéraire des jeunes Européens. "Une longue impatience" est paru en 2018. En 2019 elle publie "Une femme en contre-jour", biographie sur la photographe Vivian Maier. Après avoir fait le récit d'un burn-out et de la dépression d’une jeune salariée dans "Ce matin-là" (2021), Gaëlle Josse revient avec un roman qui plonge dans l'intimité d'une famille marquée par la rudesse du père, guide de montagne. "La nuit des pères" paraît aux éditions Notabilia le 18 août 2022. Dans "À quoi songent-ils, ceux que le sommeil fuit?" (2024) on rencontre des femmes, des hommes, des couples, des enfants, portraits intenses de vies ordinaires, tous reflets de notre humanité et de nos vacillements. son blog : http://gaellejosse.kazeo.com/ |
Nous avons découvert aussi grâce à Véronique la série de livres d'Elena Arseneva ainsi que Les pas légers de la folie de
Lorsque Mitia Sinitsine, auteur-compositeur au modeste talent, est retrouvé pendu dans la cuisine de son appartement moscovite, la milice boucle le dossier en un tournemain. L'homme portait des traces de piqûres sur la main droite, l'autopsie révèle qu'il venait de prendre une forte dose de drogue et sa femme Katia est une toxicomane notoire. La conclusion s'impose donc d'elle-même : suicide sous l'influence de stupéfiants. Seule Léna Polianskaïa, la meilleure amie du défunt, a quelques raisons d'avoir des doutes : Mitia avait en horreur tout ce qui touchait à la drogue, et les traces de piqûres ont été relevées sur sa main droite... alors qu'il était droitier ! Les investigations qu'elle entreprend ne font que confirmer ses pressentiments : la mort de Mitia Sinitsine n'a rien d'orthodoxe. Et ses soupçons se muent en certitude lorsqu'elle et sa petite fille réchappent par miracle à un attentat. Dès lors, le doute n'est plus permis : Léna Polianskaïa dérange quelqu'un... Un personnage au pouvoir considérable, à l'intelligence diabolique et disposant apparemment de ressources financières illimitées. Paulina Dachkova de son vrai nom Tatiana Viktorovna Poliachenko, est une romancière, traductrice et journaliste russe, auteure de roman policier. Les pas légers de la folie et Un hiver rouge. Elle est née le 14 Juillet 1960 à Moscou. Elle est diplômée de l'Institut Littéraire Maxime Gorki. Fabienne qui n'a pas pu assister au club m'a dit qu'elle lisait le thriller de Nicolas Beuglet "Passager sans visage". Tu n'es pas seule à chercher"... Ce mot anonyme laissé sur son paillasson est plus qu'un appel : un électrochoc. Cette fois, l'inspectrice Grace Campbell le sait, elle n'a pas le choix. Elle doit ouvrir la porte blindée du cabinet situé au fond de son appartement. Et accepter de se confronter au secret qui la hante depuis tant d'années... Des confins de la campagne écossaise aux profondeurs de la Forêt-noire où prend vie le conte le plus glaçant de notre enfance, jamais Grace n'aurait pu imaginer monter dans ce train surgi de nulle part et affronter le Passager sans visage... Avec ce thriller au suspense angoissant, Nicolas Beuglet nous plonge dans les perversions les plus terribles de nos sociétés. Et, au passage, nous interroge : et si parmi les puissants qui régissent le monde se cachaient aussi des monstres sans visage ? Un train, un passager sans visage, une organisation terrifiante. Véronique a relu un roman d'Albert Camus mais Deborah l'a refermé à la première phrase elle n'avait pas accroché "Aujourd'hui maman est morte. Ou peut-être hier, je ne sais pas". L'étranger d'Albert Camus, un classique que j'ai aimé mais qui est un peu rude, c'est pas joyeux donc un roman a lire quand on est pas en dépression sinon risque de se suicider. 😂 Mon ressenti, lu en 2021 Meursault, il a souvent chaud et il est très fatigué, dans ce récit l'auteur raconte la vie d'un homme complétement vide. Meursault il ne sait pas trop ce qu'il fou là dans cette vie. Sa mère est morte hier, aucunes émotions ne ressortent. Il rencontre Marie, il l’aime ou pas, on ne sait pas. Ils diront comment peut-on batifoler dans l'eau de mer avec une femme, le lendemain de la mort de sa mère ? Parfois, il y a des rencontres qu'il aurait dû éviter et surtout des gens qui vont l'entraîner dans un chemin très sombre. Il va commettre l'irréparable mais dira juste qu'il avait chaud et que c'est le soleil. La chaleur, la fatigue, le flingue et le moment fatidique. Dans ce roman il y a une ambiance particulière et un rythme très lent pour raconter une vie dramatique. L'auteur m'a fait ressentir le malaise de Meursault, un homme dépressif, sans émotions, qui survit parmi des gens aux vies abimées. Même l’amour ne lui donnera pas le sourire ni la joie de vivre, il fume, il boit et il attend la mort. Jusqu'à l'échafaud Meursault n'a aucun espoir, aucunes croyances et aucuns regrets. Roman classique de la littérature française qui change de tous ce que je lis d'habitude, mais j'aime parfois lire un classique entre deux livres. J'ai ressenti une sensation de malaise et le personnage principal est tellement anormal que je me suis posée beaucoup de question sur le sens de son existence. Contente enfin de l'avoir lu, Albert Camus un grand écrivain qui a réussi à me faire rentrer dans son œuvre et me retourner le cerveau. Après je pense que chaque lecteur ressent cette histoire à sa manière. Extrait: ( Puis le président a demandé à l'avocat général s'il avait des questions a poser au témoin et le procureur s'est écrié: "Oh! non cela suffit ", avec un tel regard triomphant dans ma direction que, pour la première fois depuis bien des années, j'ai eu une envie stupide de pleurer parce que j'ai senti combien j'étais détesté par tous ces gens là. ) J'aime relire des classiques de temps en temps car la littérature ancienne ne doit pas mourir dans des bibliothèques poussiéreuses. «Quand la sonnerie a encore retenti, que la porte du box s'est ouverte, c'est le silence de la salle qui est monté vers moi, le silence, et cette singulière sensation que j'ai eue lorsque j'ai constaté que le jeune journaliste avait détourné les yeux. Je n'ai pas regardé du côté de Marie. Je n'en ai pas eu le temps parce que le président m'a dit dans une forme bizarre que j'aurais la tête tranchée sur une place publique au nom du peuple français...» Ensuite nous avons donné quelques titres de nos listes d'envies de lecture. Lars Kepler est le nom de plume du couple d'auteurs suédois de romans policiers, Alexandra Coelho Ahndoril (née en 1966 à Helsingborg) et Alexander Ahndoril (né en 1967 à Stockholm). Mariés dans la vie et parents de trois filles, ils ont écrit plusieurs romans chacun. "L'Hypnotiseur" ("Hypnotisören", 2009) est le premier de leurs romans à quatre mains et le premier tome d'une série qui met en vedette Joona Linna, un détective du Département des opérations nationales. Il a été adapté au cinéma et réalisé par Lasse Hallström en 2012. La seconde enquête de l'inspecteur Joona Linna, "Le Pacte" ("Paganinikontraktet"), parue en Suède au début de l'été 2010, a pris directement la tête des ventes. En 2015, ils publient "Playground", un thriller new-age. On retrouve l'inspecteur Joona Linna dans "L'Araignée" ("Spindeln", 2022), le neuvième tome de la série où il doit faire face à un tueur en série au mode opératoire terrifiant. site de l'auteur : http://larskepler.com/ page Facebook : https://www.facebook.com/larskepler/ |
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